SOURCE - CCCSP - 28 février 2007
L’Institut du Bon Pasteur, première communauté traditionaliste fondée sous les auspices du pape Benoît XVI le 8 septembre dernier, va procéder à des ordinations sacerdotales le samedi 3 mars 2007, à 10 H, dans l’église paroissiale de Courtalain (Eure-et-Loir), où a été ouvert cette année le séminaire de l’Institut du Bon Pasteur. L’évêque qui officiera est Mgr Luigi De Magistris archevêque émérite de Nova et ancien grand Pénitencier au Vatican. Les deux futurs prêtres, l’abbé Claude Prieur et l’abbé David Belon, ont effectué l’essentiel de leurs études à Ecône, en Suisse, avant de rejoindre l’Institut du Bon Pasteur lors de sa fondation. Par ailleurs, au cours de cette cérémonie, deux séminaristes seront ordonnés diacres. C’est la première fois que des ordinations célébrées selon la liturgie traditionnelle peuvent avoir lieu en France dans une église paroissiale. Signe d’une évolution des mentalités, cet événement marque la progression dans notre pays, de la volonté de réconciliation entre les catholiques, affichée dès le début de son pontificat par le pape Benoît XVI et réaffirmée à Lourdes, en novembre dernier, par le cardinal Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence épiscopale.
L’Institut du Bon Pasteur, première communauté traditionaliste fondée sous les auspices du pape Benoît XVI le 8 septembre dernier, va procéder à des ordinations sacerdotales le samedi 3 mars 2007, à 10 H, dans l’église paroissiale de Courtalain (Eure-et-Loir), où a été ouvert cette année le séminaire de l’Institut du Bon Pasteur. L’évêque qui officiera est Mgr Luigi De Magistris archevêque émérite de Nova et ancien grand Pénitencier au Vatican. Les deux futurs prêtres, l’abbé Claude Prieur et l’abbé David Belon, ont effectué l’essentiel de leurs études à Ecône, en Suisse, avant de rejoindre l’Institut du Bon Pasteur lors de sa fondation. Par ailleurs, au cours de cette cérémonie, deux séminaristes seront ordonnés diacres. C’est la première fois que des ordinations célébrées selon la liturgie traditionnelle peuvent avoir lieu en France dans une église paroissiale. Signe d’une évolution des mentalités, cet événement marque la progression dans notre pays, de la volonté de réconciliation entre les catholiques, affichée dès le début de son pontificat par le pape Benoît XVI et réaffirmée à Lourdes, en novembre dernier, par le cardinal Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence épiscopale.
Sur place, après la cérémonie, M. l’abbé Philippe Laguérie, ancien curé de Saint-Nicolas du Chardonnet, aujourd’hui Supérieur général de l’IBP, accompagné de M. l’abbé Guillaume de Tanoüarn, son assistant, animera un Point presse à 13 H pour répondre aux questions des journalistes.