SOURCE - Père Guy Lecourt - Bruno Bouvet - La Croix - 19 janvier 2010
P. Guy Lecourt, curé de la paroisse de Rambouillet (Yvelines)
«J’ai accepté de célébrer la messe selon le rite extraordinaire (préconciliaire), une fois par mois. Je suis le seul dans le diocèse de Versailles. Les fidèles traditionalistes ont saisi la main que je leur tendais. Ils sont très heureux de se sentir reconnus dans la paroisse.
Cependant, j’ai refusé de célébrer toutes les semaines car cela créerait une fracture trop grande dans la vie paroissiale. Je sens bien qu’il y a encore quelques regrets à ce sujet mais d’un autre côté, de nombreux fidèles traditionalistes participent désormais aux messes ordinaires, ce qu’ils ne faisaient pas auparavant. Et la plupart se retrouvent à notre kermesse ou à nos soirées paroissiales.
J’attends désormais que les liturgies puissent s’enrichir mutuellement : cette ouverture représenterait une première ouverture de la part des traditionalistes et marquerait un progrès net pour l’unité des catholiques.»
P. Guy Lecourt, curé de la paroisse de Rambouillet (Yvelines)
«J’ai accepté de célébrer la messe selon le rite extraordinaire (préconciliaire), une fois par mois. Je suis le seul dans le diocèse de Versailles. Les fidèles traditionalistes ont saisi la main que je leur tendais. Ils sont très heureux de se sentir reconnus dans la paroisse.
Cependant, j’ai refusé de célébrer toutes les semaines car cela créerait une fracture trop grande dans la vie paroissiale. Je sens bien qu’il y a encore quelques regrets à ce sujet mais d’un autre côté, de nombreux fidèles traditionalistes participent désormais aux messes ordinaires, ce qu’ils ne faisaient pas auparavant. Et la plupart se retrouvent à notre kermesse ou à nos soirées paroissiales.
J’attends désormais que les liturgies puissent s’enrichir mutuellement : cette ouverture représenterait une première ouverture de la part des traditionalistes et marquerait un progrès net pour l’unité des catholiques.»