SOURCE - Perepiscopus - 20 janvier 2010
A propos de l'affaire de Thiberville, il est nécessaire de se pencher sur l'application du Motu Proprio Summorum Pontificum dans le diocèse d'Evreux. Or, que constate-t-on ? Qu'il existe, malgré quelques apparences, une hostilité de Mgr Nourrichard à l'égard de la forme extraordinaire du rite romain. En effet, alors qu'il n'existait pas de messe célébrée selon le missel de 1962, une messe a été instaurée à Evreux (sur 4 demandes). Bonne nouvelle pourrait-on dire.
En fait, l'impopulaire curé de la cathédrale d'Evreux, l'abbé Pascal Le Roux n'a célébré à Saint-Taurin la messe de 1962 que 9 fois l'an dernier, la messe n'étant célébrée qu'une fois par mois sauf durant les vacances ! 9 messes sur 52 dimanches, 9 messes sur 365 jours ! Et en outre, elle est célébrée à 17 h (pour concurrencer celle de Thiberville?). Prendrait-on les fidèles pour des imbéciles dans ce diocèse ? Suivant l'opposition de Mgr Nourrichard, l'abbé Le Roux a même refusé de donner la communion à ceux qui ouvraient la bouche, et obligea ceux des 17 fidèles qui vinrent communier à tendre la main ! A la 1ère Messe, on comptait 80 fidèles... Facile ensuite de dire qu'il n'y a pas de demande, quand on fait tout pour énerver les fidèles.
Mais ce n'est hélas pas tout. L'abbé Goupil, prêtre fraichement ordonné de l'Institut du Christ-Roi, s'est vu interdire par ce même curé, de célébrer une 1ère Messe à Evreux, d'où il est originaire. On lui a proposé... une église de campagne. Il ne fallait pas que les habitants d'Evreux aient la tentation de se rendre à sa messe...
Ce même jeune prêtre s'était vu interdire par l'évêque, aux dernières vacances d'été, de célébrer la messe publiquement, sauf pour ses seuls parents, et avait été relégué dans une seule église de campagne.
En cette semaine de prière pour l'unité des chrétiens, il serait temps que Mgr Nourrichard cesse de considérer les fidèles attachés à la forme extraordinaire du rite romain comme des parias!
A propos de l'affaire de Thiberville, il est nécessaire de se pencher sur l'application du Motu Proprio Summorum Pontificum dans le diocèse d'Evreux. Or, que constate-t-on ? Qu'il existe, malgré quelques apparences, une hostilité de Mgr Nourrichard à l'égard de la forme extraordinaire du rite romain. En effet, alors qu'il n'existait pas de messe célébrée selon le missel de 1962, une messe a été instaurée à Evreux (sur 4 demandes). Bonne nouvelle pourrait-on dire.
En fait, l'impopulaire curé de la cathédrale d'Evreux, l'abbé Pascal Le Roux n'a célébré à Saint-Taurin la messe de 1962 que 9 fois l'an dernier, la messe n'étant célébrée qu'une fois par mois sauf durant les vacances ! 9 messes sur 52 dimanches, 9 messes sur 365 jours ! Et en outre, elle est célébrée à 17 h (pour concurrencer celle de Thiberville?). Prendrait-on les fidèles pour des imbéciles dans ce diocèse ? Suivant l'opposition de Mgr Nourrichard, l'abbé Le Roux a même refusé de donner la communion à ceux qui ouvraient la bouche, et obligea ceux des 17 fidèles qui vinrent communier à tendre la main ! A la 1ère Messe, on comptait 80 fidèles... Facile ensuite de dire qu'il n'y a pas de demande, quand on fait tout pour énerver les fidèles.
Mais ce n'est hélas pas tout. L'abbé Goupil, prêtre fraichement ordonné de l'Institut du Christ-Roi, s'est vu interdire par ce même curé, de célébrer une 1ère Messe à Evreux, d'où il est originaire. On lui a proposé... une église de campagne. Il ne fallait pas que les habitants d'Evreux aient la tentation de se rendre à sa messe...
Ce même jeune prêtre s'était vu interdire par l'évêque, aux dernières vacances d'été, de célébrer la messe publiquement, sauf pour ses seuls parents, et avait été relégué dans une seule église de campagne.
En cette semaine de prière pour l'unité des chrétiens, il serait temps que Mgr Nourrichard cesse de considérer les fidèles attachés à la forme extraordinaire du rite romain comme des parias!