SOURCE - summorum-pontificum.fr - 31 mars 2010
Du 22 au 26 mars dernier, les évêques de France se sont retrouvés pour leur Assemblée plénière de printemps. Dans son message de clôture, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence épiscopale a notamment prononcé les mots suivants :
« Nous sommes émerveillés par les signes de renouveau que manifestent les catéchumènes et les « recommençants ». Nous sommes aussi interrogés par de nouvelles façons de vivre la foi qui se développent dans les nouvelles générations, et les communautés. Les rassemblements comme les JMJ, l'attrait de Taizé et d'autres groupes qui invitent à des modes de vie plus sobres, le succès du pèlerinage étudiant en Terre Sainte en juillet 2009, montrent les voies d'un autre avenir : nouveaux engagements sociaux et ecclésiaux, expériences spirituelles décisives. »
Dans ce constat de renouveau, deux absents de marque : les groupes des communautés nouvelles et les traditionalistes. Or, il s’agit aujourd’hui, avec les milieux du scoutisme traditionnel, qui sont inter-groupes, si l’on peut dire, des deux parties du catholicisme français qui donnent le plus de vocations et de conversions.
Les JMJ sont à saluer certes, mais il s’agit d’un événement qui demande à être accompagné le reste du temps.
Taizé, aujourd’hui encore, n’est pas dépourvu d’ambiguïté et d’équivoques. Il est étonnant de voir un prélat catholique se l’approprier aussi facilement.
En revanche, et pour rester dans le registre choisi par le cardinal archevêque de Paris, celui de l’évènementiel, aucun mention :
– des sessions de Paray-Le-Monial de la Communauté de l’Emmanuel, qui offre quand même un catholicisme identitaire ;
– des pèlerinages de Paris-Chartres et Chartres-Paris qui mettent sur le route à la Pentecôte des milliers de traditionalistes.
Du 22 au 26 mars dernier, les évêques de France se sont retrouvés pour leur Assemblée plénière de printemps. Dans son message de clôture, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence épiscopale a notamment prononcé les mots suivants :
« Nous sommes émerveillés par les signes de renouveau que manifestent les catéchumènes et les « recommençants ». Nous sommes aussi interrogés par de nouvelles façons de vivre la foi qui se développent dans les nouvelles générations, et les communautés. Les rassemblements comme les JMJ, l'attrait de Taizé et d'autres groupes qui invitent à des modes de vie plus sobres, le succès du pèlerinage étudiant en Terre Sainte en juillet 2009, montrent les voies d'un autre avenir : nouveaux engagements sociaux et ecclésiaux, expériences spirituelles décisives. »
Dans ce constat de renouveau, deux absents de marque : les groupes des communautés nouvelles et les traditionalistes. Or, il s’agit aujourd’hui, avec les milieux du scoutisme traditionnel, qui sont inter-groupes, si l’on peut dire, des deux parties du catholicisme français qui donnent le plus de vocations et de conversions.
Les JMJ sont à saluer certes, mais il s’agit d’un événement qui demande à être accompagné le reste du temps.
Taizé, aujourd’hui encore, n’est pas dépourvu d’ambiguïté et d’équivoques. Il est étonnant de voir un prélat catholique se l’approprier aussi facilement.
En revanche, et pour rester dans le registre choisi par le cardinal archevêque de Paris, celui de l’évènementiel, aucun mention :
– des sessions de Paray-Le-Monial de la Communauté de l’Emmanuel, qui offre quand même un catholicisme identitaire ;
– des pèlerinages de Paris-Chartres et Chartres-Paris qui mettent sur le route à la Pentecôte des milliers de traditionalistes.