SOURCE - DICI - 10 juillet 2010
Chanoine de l´Abbaye de Saint-Maurice, en Valais, depuis 1996, le chanoine Yannick Escher, âgé de 36 ans, a quitté son monastère, le 29 juin, fête des saints Pierre et Paul et jour des ordinations à Ecône. Il a rejoint la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, après avoir découvert la messe tridentine et longuement étudié les écrits et conférences de Mgr Marcel Lefebvre.
Professeur, aumônier des étudiants, maître des cérémonies, correspondant du Bulletin Paroisses vivantes et du quotidien valaisan Le Nouvelliste, « le chanoine Escher avait déployé un grand zèle dans ses nombreuses activités », relève l´Abbé de Saint-Maurice, Joseph Roduit, dans un communiqué attristé.
Le religieux suisse se trouve actuellement dans une des maisons de la Fraternité Saint-Pie X. Avant de quitter Saint-Maurice, il a adressé à son Père Abbé et à ses confrères une lettre de cinq pages expliquant que son départ était motivé par des raisons essentiellement liturgiques et doctrinales. (Sources : FSSPX/Apic – DICI n° 218 du 10/07/10)
Chanoine de l´Abbaye de Saint-Maurice, en Valais, depuis 1996, le chanoine Yannick Escher, âgé de 36 ans, a quitté son monastère, le 29 juin, fête des saints Pierre et Paul et jour des ordinations à Ecône. Il a rejoint la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, après avoir découvert la messe tridentine et longuement étudié les écrits et conférences de Mgr Marcel Lefebvre.
Professeur, aumônier des étudiants, maître des cérémonies, correspondant du Bulletin Paroisses vivantes et du quotidien valaisan Le Nouvelliste, « le chanoine Escher avait déployé un grand zèle dans ses nombreuses activités », relève l´Abbé de Saint-Maurice, Joseph Roduit, dans un communiqué attristé.
Le religieux suisse se trouve actuellement dans une des maisons de la Fraternité Saint-Pie X. Avant de quitter Saint-Maurice, il a adressé à son Père Abbé et à ses confrères une lettre de cinq pages expliquant que son départ était motivé par des raisons essentiellement liturgiques et doctrinales. (Sources : FSSPX/Apic – DICI n° 218 du 10/07/10)