SOURCE - Perepiscopus - 22 août 2010
Aujourd'hui, dimanche 22 août, le Chanoine Jayr, provincial de France de l'ICRSP est venu annoncer aux fidèles d'Agen de la forme extraordinaire se retirait du diocèse d'Agen, suite à l'accueil déplorable et au climat de suspicion qui s'était installé suite à l'application du Motu Proprio.
En effet, l'évêque d'Agen Mgr Herbreteau a interdit avec fermeté au chanoine Téqui qui dessert la paroisse d'Agen pour célébrer la forme extraordinaire de l'unique rite romain les cours de catéchisme qu'il dispensait avec succès (une trentaine d'enfants), et exige une restriction outrancière de la délivrance des sacrements. Sur le site du diocèse, l'ICRSP n'existe même pas.
L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a donc pris la décision de se retirer, pour mieux agir où il est mieux accueilli.
Cette nouvelle va faire tâche dans le rapport que doivent rendre les évêques pour les 3 ans d'application (ou de non-application) du motu proprio. Elle montre que la France a besoin d'évêques décidés à appliquer Summorum Pontificum autrement qu'avec des mesures restrictives (comme une messe dominicale mensuelle et à 8h30 dans le Brionnais - diocèse d'Autun !).
Aujourd'hui, dimanche 22 août, le Chanoine Jayr, provincial de France de l'ICRSP est venu annoncer aux fidèles d'Agen de la forme extraordinaire se retirait du diocèse d'Agen, suite à l'accueil déplorable et au climat de suspicion qui s'était installé suite à l'application du Motu Proprio.
En effet, l'évêque d'Agen Mgr Herbreteau a interdit avec fermeté au chanoine Téqui qui dessert la paroisse d'Agen pour célébrer la forme extraordinaire de l'unique rite romain les cours de catéchisme qu'il dispensait avec succès (une trentaine d'enfants), et exige une restriction outrancière de la délivrance des sacrements. Sur le site du diocèse, l'ICRSP n'existe même pas.
L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a donc pris la décision de se retirer, pour mieux agir où il est mieux accueilli.
Cette nouvelle va faire tâche dans le rapport que doivent rendre les évêques pour les 3 ans d'application (ou de non-application) du motu proprio. Elle montre que la France a besoin d'évêques décidés à appliquer Summorum Pontificum autrement qu'avec des mesures restrictives (comme une messe dominicale mensuelle et à 8h30 dans le Brionnais - diocèse d'Autun !).