SOURCE - Christophe Saint-Placide - 12 novembre 2011
J’ai déjà évoqué la messe célébrée par le cardinal Castrillon Hoyos pour la 20e assemblée générale de la Fédération internationale d’Una Voce (FIUV) qui s’est tenue à Rome le samedi 5 et dimanche 6 novembre. Si cette célébration a constitué le point d’orgue de cette rencontre, celle-ci ne s’y est évidemment pas limitée. Il faudrait encore parler du déjeuner qui a réuni les participants autours du cardinal Burke qui avait tenu notamment à avoir à sa table deux membres fondateurs de la Fédération, le français Jacques Dhaussy et l’allemand Helmut Rückriegel.
Mais plus important encore pour l’avenir de la FIUV fut le renouvellement du bureau. Alors que le bruit courait que le président en titre, Leo Darroch, souhaitait être déchargé de ce poste, il a été réélu à l’unanimité comme président de la Fédération. Son travail a été particulièrement salué par les participants qui ont noté que depuis 2007, année de son arrivée à la présidence, sept nouveaux groupes Una Voce sont nés dans le monde : aux Philippines, au Japon, au Portugal, au Brésil, à Cuba, en Biélorussie et en Ukraine.
Pour seconder le président, plusieurs vice-président ont été élus : Jack Oostveen (Hollande), Jason King (États-Unis) et Patrick Banken (France). L’Irlandais Thomas Murphy a été élu secrétaire. Pour raison de santé, Rodolfo Vargas Rubio (Espagne) a présenté sa démission tout en restant membre du Conseil général pour assurer les relations avec les pays de langue hispanique.
Le lendemain, dimanche 6 novembre, après la messe en la paroisse de la Trinité des Pèlerins, dessevie par la Fraternité Saint-Pierre, s’est déroulée la session publique de l’assemblée qui a constitué en plusieurs interventions publiques de Don Giuseppe Valluari, de l’abbé Stefano Carusi de l’Institut du Bon Pasteur, de Helmut Rückriegel, fondateur de la FIUV, de Mgr Valentín Miserachs Grau, président de l’Institut pontifical de Musique sacrée, de l’abbé Joseph Kramer de la Fraternité Saint-Pierre, de Don José-Apeles Santolaria de Puey y Cruells et du chanoine Joseph Luzuy de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre.
J’ai déjà évoqué la messe célébrée par le cardinal Castrillon Hoyos pour la 20e assemblée générale de la Fédération internationale d’Una Voce (FIUV) qui s’est tenue à Rome le samedi 5 et dimanche 6 novembre. Si cette célébration a constitué le point d’orgue de cette rencontre, celle-ci ne s’y est évidemment pas limitée. Il faudrait encore parler du déjeuner qui a réuni les participants autours du cardinal Burke qui avait tenu notamment à avoir à sa table deux membres fondateurs de la Fédération, le français Jacques Dhaussy et l’allemand Helmut Rückriegel.
Mais plus important encore pour l’avenir de la FIUV fut le renouvellement du bureau. Alors que le bruit courait que le président en titre, Leo Darroch, souhaitait être déchargé de ce poste, il a été réélu à l’unanimité comme président de la Fédération. Son travail a été particulièrement salué par les participants qui ont noté que depuis 2007, année de son arrivée à la présidence, sept nouveaux groupes Una Voce sont nés dans le monde : aux Philippines, au Japon, au Portugal, au Brésil, à Cuba, en Biélorussie et en Ukraine.
Pour seconder le président, plusieurs vice-président ont été élus : Jack Oostveen (Hollande), Jason King (États-Unis) et Patrick Banken (France). L’Irlandais Thomas Murphy a été élu secrétaire. Pour raison de santé, Rodolfo Vargas Rubio (Espagne) a présenté sa démission tout en restant membre du Conseil général pour assurer les relations avec les pays de langue hispanique.
Le lendemain, dimanche 6 novembre, après la messe en la paroisse de la Trinité des Pèlerins, dessevie par la Fraternité Saint-Pierre, s’est déroulée la session publique de l’assemblée qui a constitué en plusieurs interventions publiques de Don Giuseppe Valluari, de l’abbé Stefano Carusi de l’Institut du Bon Pasteur, de Helmut Rückriegel, fondateur de la FIUV, de Mgr Valentín Miserachs Grau, président de l’Institut pontifical de Musique sacrée, de l’abbé Joseph Kramer de la Fraternité Saint-Pierre, de Don José-Apeles Santolaria de Puey y Cruells et du chanoine Joseph Luzuy de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre.