SOURCE - Ennemond - Fecit - 20 décembre 2011
[Message posté suite à l'information selon laquelle: "La réponse au préambule doctrinal à été envoyée au Vatican le 10 décembre,les supérieurs de districts de la FSSPX en ont eu connaissance au début du mois et l`ont communiqué aux principaux collaborateurs de leur district,verbalement."]
On peut légitimement penser que le contenu de sa réponse reprend les éléments de l'entretien accordé par Mgr Fellay dix jours auparavant et le sermon prononcé deux jours plus tôt. Les passages concernant directement la réponse sont ceux-ci :
[Message posté suite à l'information selon laquelle: "La réponse au préambule doctrinal à été envoyée au Vatican le 10 décembre,les supérieurs de districts de la FSSPX en ont eu connaissance au début du mois et l`ont communiqué aux principaux collaborateurs de leur district,verbalement."]
On peut légitimement penser que le contenu de sa réponse reprend les éléments de l'entretien accordé par Mgr Fellay dix jours auparavant et le sermon prononcé deux jours plus tôt. Les passages concernant directement la réponse sont ceux-ci :
" Puisque la note qui l'accompagne prévoit la possibilité d'apporter des clarifications, il me semble nécessaire de les demander au lieu de les refuser a priori. Ce qui ne préjuge en rien de la réponse que nous donnerons. "
" Vous avez tous entendu qu’il y a eu une proposition de Rome, une proposition qui dit : « nous sommes prêts à vous reconnaître ». Le problème, c’est qu’il y a toujours une condition. Cette condition a pu varier un peu dans la formulation, mais au fond c’est toujours la même. Cette condition est : il faut accepter le Concile. On pourrait résumer la situation actuelle en disant : « oui, vous pouvez critiquer le Concile, mais à une condition, il faut d’abord l’accepter ». Et nous de dire : « qu’est-ce qu’on peut critiquer après ? ». Je crois que c’est un résumé honnête de la situation actuelle. Et il n’est pas difficile de vous décrire notre réponse. "N'est-ce pas ce que disent au même moment Mgr Gherardini et Jean Madiran ?
" Alors, que fait-on ? Rome nous dit : vous acceptez quand même ! Et nous, nous répondons : on ne peut pas. Aussi ce que nous décidons de faire, en plus de leur répondre qu’on ne peut pas, c’est de leur dire : vous ne voudriez pas regarder les choses un peu autrement ? Vous ne voudriez pas essayer de comprendre, que ce n’est pas la Fraternité qui est un problème. Il y a effectivement un problème dans l’Eglise, mais ce n’est pas la Fraternité ; nous ne sommes un problème que parce que nous disons qu’il y a un problème. Alors nous leur demandons de s’occuper du vrai problème. Nous sommes prêts, nous ne désirons qu’une chose et c’est précisément d’attaquer le vrai problème."