SOURCE - Rédemptoristes Transalpins - version française publiée sur le Forum Catholique - 22 novembre 2008
22 novembre Papa Stronsay (île d'Ecosse)
Depuis notre réconciliation avec le Saint-Siège le 18 Juin 2008, des déclarations ont été faites sur l'Internet indiquant que nous avons eu à parcourir un chemin "lent et épineux" et que nous avions eu tort de faire confiance à l'Eglise. Il a été rapidement fait remarquer que nous n'avions aucun droit.
Nous avons eu à supporter patiemment ces remarques, c’est bon pour l'âme. En vérité cependant, la seule épine à supporter dans ces déclarations, c'est qu'elles proviennent de ceux que nous aimons, certains collègues catholiques traditionnels, avec apparemment l'intention de faire le pire à partit de nos décisions.
En fait, la route n'a été ni «épineuse» ni lente. Examiner les faits. Nous avons été reçus par l'Eglise comme une communauté, désirant le rester ; mais en fonction de Droit Canon nous n'étions incardinés dans aucun structure de l'Eglise ni individuellement en tant que prêtres ni collectivement en tant que communauté. Normalement, puisque nous n’étions pas incardinés, nous aurions dû être sans droits jusqu'à ce que tout soit parfaitement régularisé ; cela aurait pris du temps.
Mais l'Église d'être une véritable mère, consciente des besoins de la communauté et des fidèles dans Stronsay qui ont recours à nous, nous a accordé intérimaire facultés pour nous voir y répondre.
Certes, depuis le Motu proprio du 7 Juillet 2007, il devrait y avoir pardon et retour à la confiance dans l'Eglise. C'est ce que nous avons fait. Nous avons fait confiance à l'Eglise. Nous avons confiance au Saint-Père. Nous ne sommes pas maltraités ni par l'Eglise ni pas le Saint-Siège, comme certains l'ont dit. Nous ne sommes pas obligés de dire la Nouvelle Messe, comme cela fut dit. Nous ne sommes pas pris au piège pour être détruits. Chers amis, nous sommes soutenus et hébergés sans que personne ne nous demande une quelconque compromission. Les évêques d'Aberdeen et Christchurch est allé le plus loin au-delà des limites des prescriptions canoniques. Ce qui vaut la peine d’être noté. Mon expérience du Saint-Siège et de la régularisation a été excellente. Cela n'a pas été une mauvaise expérience.
Nous invitons tout prêtre qui veut à envisager de se réconcilier avec le Saint-Siège, à rester chez nous [sur Papa Stronsay] aussi longtemps qu'il le souhaite, de façon anonyme et tout à fait libre. La soumission à Pierre est le bon chemin.
Depuis notre réconciliation avec le Saint-Siège le 18 Juin 2008, des déclarations ont été faites sur l'Internet indiquant que nous avons eu à parcourir un chemin "lent et épineux" et que nous avions eu tort de faire confiance à l'Eglise. Il a été rapidement fait remarquer que nous n'avions aucun droit.
Nous avons eu à supporter patiemment ces remarques, c’est bon pour l'âme. En vérité cependant, la seule épine à supporter dans ces déclarations, c'est qu'elles proviennent de ceux que nous aimons, certains collègues catholiques traditionnels, avec apparemment l'intention de faire le pire à partit de nos décisions.
En fait, la route n'a été ni «épineuse» ni lente. Examiner les faits. Nous avons été reçus par l'Eglise comme une communauté, désirant le rester ; mais en fonction de Droit Canon nous n'étions incardinés dans aucun structure de l'Eglise ni individuellement en tant que prêtres ni collectivement en tant que communauté. Normalement, puisque nous n’étions pas incardinés, nous aurions dû être sans droits jusqu'à ce que tout soit parfaitement régularisé ; cela aurait pris du temps.
Mais l'Église d'être une véritable mère, consciente des besoins de la communauté et des fidèles dans Stronsay qui ont recours à nous, nous a accordé intérimaire facultés pour nous voir y répondre.
Certes, depuis le Motu proprio du 7 Juillet 2007, il devrait y avoir pardon et retour à la confiance dans l'Eglise. C'est ce que nous avons fait. Nous avons fait confiance à l'Eglise. Nous avons confiance au Saint-Père. Nous ne sommes pas maltraités ni par l'Eglise ni pas le Saint-Siège, comme certains l'ont dit. Nous ne sommes pas obligés de dire la Nouvelle Messe, comme cela fut dit. Nous ne sommes pas pris au piège pour être détruits. Chers amis, nous sommes soutenus et hébergés sans que personne ne nous demande une quelconque compromission. Les évêques d'Aberdeen et Christchurch est allé le plus loin au-delà des limites des prescriptions canoniques. Ce qui vaut la peine d’être noté. Mon expérience du Saint-Siège et de la régularisation a été excellente. Cela n'a pas été une mauvaise expérience.
Nous invitons tout prêtre qui veut à envisager de se réconcilier avec le Saint-Siège, à rester chez nous [sur Papa Stronsay] aussi longtemps qu'il le souhaite, de façon anonyme et tout à fait libre. La soumission à Pierre est le bon chemin.