Belle nouvelle que transmet le site Rorate Caeli ! Une messe dans l’usus antiquior
a été célébrée en Russie, à Rostov-sur-le-Don. L’événement est en soi
remarquable, dans la mesure où il montre que l’application du motu
proprio Summorum Pontificum s’étend géographiquement et qu’il n’est pas limité aux frontières de la stricte chrétienté occidentale.
Mais, ici, en plus, s’ajoute un autre aspect, particulièrement touchant. Il semblerait que cette messe selon la forme traditionnelle soit la première à être célébrée dans cette forme depuis… 1952, année durant laquelle les autorités soviétiques ont décidé de « liquider » la paroisse catholique de Rostov et de détruire son église.
Quarante ans après, la paroisse de la Sainte-Cène a été restaurée, une église a été reconstruite, sous l’impulsion d’un jeune missionnaire venu de Pologne, le père Jaroslaw Wisniewski. Le 22 juillet dernier, c’est le père Wladislaw Kloc, également missionnaire et polonais, qui a célébré pour la première fois la messe selon la forme extraordinaire, aidé et soutenu par Una Voce Russie dont certains membres n’ont pas hésité à faire plus de 1 100 kilomètres pour l’occasion.
Mais, ici, en plus, s’ajoute un autre aspect, particulièrement touchant. Il semblerait que cette messe selon la forme traditionnelle soit la première à être célébrée dans cette forme depuis… 1952, année durant laquelle les autorités soviétiques ont décidé de « liquider » la paroisse catholique de Rostov et de détruire son église.
Quarante ans après, la paroisse de la Sainte-Cène a été restaurée, une église a été reconstruite, sous l’impulsion d’un jeune missionnaire venu de Pologne, le père Jaroslaw Wisniewski. Le 22 juillet dernier, c’est le père Wladislaw Kloc, également missionnaire et polonais, qui a célébré pour la première fois la messe selon la forme extraordinaire, aidé et soutenu par Una Voce Russie dont certains membres n’ont pas hésité à faire plus de 1 100 kilomètres pour l’occasion.