SOURCE - Abbé Néri - Le Forum Catholique - 19 mars 2013
Avec le début officiel du nouveau pontificat reprends le cours du traitement des affaires concernant la vie de l’Église, et parmi eux la question de la réconciliation entre la Fraternité saint Pie X et Rome.
Au de-là de la différence évidente de la personnalité du Pape émérite et Pape actuel, la plus grande difficulté à laquelle est confronté Mgr. Fellay dans sa volonté d’arriver à trouver une solution à la situation actuelle de la fraternité saint Pie X dans l’Église se trouve dans la prise de position de son Fondateur :
« Ce qui nous intéresse d’abord, c’est de maintenir la foi catholique.
C’est cela notre combat.
Alors la question canonique, purement extérieure, publique dans l’Église, est secondaire.
Ce qui est important, c’est de rester dans l’Église… dans l’Église, c’est-à-dire dans la foi catholique de toujours et dans le vrai sacerdoce, et dans la véritable messe, et dans les véritables sacrements, dans le catéchisme de toujours, avec la Bible de toujours.
C’est cela qui nous intéresse.
C’est cela qui est l’Église.
D’être reconnus publiquement, ça c’est secondaire.
Alors il ne faut pas rechercher le secondaire en perdant ce qui est primaire, ce qui est le premier objet de notre combat ! »
Voila son dilemme, comment obtenir une reconnaissance canonique sans résoudre ce qui pose problème au niveau de la foi, et sans pour le moins paraître trahir l’enseignement de Mgr. Lefebvre ?
Avec le début officiel du nouveau pontificat reprends le cours du traitement des affaires concernant la vie de l’Église, et parmi eux la question de la réconciliation entre la Fraternité saint Pie X et Rome.
Au de-là de la différence évidente de la personnalité du Pape émérite et Pape actuel, la plus grande difficulté à laquelle est confronté Mgr. Fellay dans sa volonté d’arriver à trouver une solution à la situation actuelle de la fraternité saint Pie X dans l’Église se trouve dans la prise de position de son Fondateur :
« Ce qui nous intéresse d’abord, c’est de maintenir la foi catholique.
C’est cela notre combat.
Alors la question canonique, purement extérieure, publique dans l’Église, est secondaire.
Ce qui est important, c’est de rester dans l’Église… dans l’Église, c’est-à-dire dans la foi catholique de toujours et dans le vrai sacerdoce, et dans la véritable messe, et dans les véritables sacrements, dans le catéchisme de toujours, avec la Bible de toujours.
C’est cela qui nous intéresse.
C’est cela qui est l’Église.
D’être reconnus publiquement, ça c’est secondaire.
Alors il ne faut pas rechercher le secondaire en perdant ce qui est primaire, ce qui est le premier objet de notre combat ! »
Voila son dilemme, comment obtenir une reconnaissance canonique sans résoudre ce qui pose problème au niveau de la foi, et sans pour le moins paraître trahir l’enseignement de Mgr. Lefebvre ?