SOURCE - DICI - 19 mai 2016
Lors du pèlerinage de Pentecôte 2016, plusieurs milliers de fidèles ont parcouru une centaine de kilomètres en chantant, priant et méditant, à la lumière des enseignements de saint Louis-Marie Grignion de Montfort. A l’occasion du tricentenaire de la mort du saint missionnaire qui « est incontestablement un de ceux qui ont travaillé le plus ardemment et le plus efficacement à faire aimer et servir Marie », les pèlerins ont pu acquérir, durant ces trois jours, une confiance plus profonde à l’égard de la Mère de Dieu.
Lors du pèlerinage de Pentecôte 2016, plusieurs milliers de fidèles ont parcouru une centaine de kilomètres en chantant, priant et méditant, à la lumière des enseignements de saint Louis-Marie Grignion de Montfort. A l’occasion du tricentenaire de la mort du saint missionnaire qui « est incontestablement un de ceux qui ont travaillé le plus ardemment et le plus efficacement à faire aimer et servir Marie », les pèlerins ont pu acquérir, durant ces trois jours, une confiance plus profonde à l’égard de la Mère de Dieu.
A la fin de la journée du dimanche, ils se sont retrouvés à Villepreux, pour suivre la messe pontificale célébrée par Mgr Bernard Tissier de Mallerais. Dans son homélie, le prélat a affirmé que, pour de simples prêtres et fidèles, l’important n’était pas une éventuelle reconnaissance canonique de la Fraternité Saint-Pie X – qui viendra à l’heure fixée par la Providence divine –, mais qu’il s’agissait bien plutôt pour eux de témoigner avec force de leur foi en Jésus-Christ Dieu, Prêtre et Roi. Et d’insister sur ce témoignage qui, en temps de grande confusion, ne peut se faire qu’avec la vraie dévotion à la T.S. Vierge Marie, propagée par saint Louis-Marie.
Le lundi de Pentecôte, ce sont plus de 6500 fidèles qui ont assisté place Vauban, devant Saint-Louis des Invalides, à la messe de clôture, célébrée par l’abbé François-Marie Chautard. Dans son sermon, le recteur de l’Institut Universitaire Saint-Pie X a rappelé combien il importe de se montrer fiers d’être catholiques, se référant à la lettre du Père de Foucauld au Général Laperrine : « J’avais cru en entrant dans la vie religieuse que j’aurais surtout à conseiller la douceur et l’humilité ; avec le temps, je crois que ce qui manque le plus souvent, c’est la dignité et la fierté. » Soulignant la grandeur de l’héritage spirituel reçu de la Tradition, l’abbé Chautard a ardemment invité les fidèles à conserver ce dépôt par la recherche constante de la sainteté.