SOURCE - Riposte Catholique - 18 octobre 2014
Dans un discours qualifié de « percutant » par News.va, le réseau d’information officiel du Saint-Siège, et prononcé hier lors de la clôture des travaux du synode extraordinaire sur le famille, le pape François a notamment fustigé les «traditionalistes» et les «progressistes» qui se sont exprimés et affrontés lors des débats entre les Pères synodaux. Parmi les cinq « tentations » que le pape dit avoir discernées dans les échanges synodaux, les deux premières seraient les suivantes. Première : « La tentation du raidissement hostile, c’est-à-dire de vouloir s’enfermer dans la lettre (…), à l’intérieur de la loi, dans la certitude de ce que nous connaissons et non de ce que devons encore apprendre et atteindre. Du temps de Jésus, c’est la tentation des zélotes, des scrupuleux, des empressés et aujourd’hui de ceux qu’on appelle aujourd’hui des “traditionalistes” ou aussi des “intellectualistes”». Deuxième: «La tentation d’un angélisme destructeur, qui au nom d’une miséricorde traîtresse met un pansement sur les blessures sans d’abord les soigner, qui traite les symptômes et non les causes et les racines. C’est la tentation des timorés, et aussi de ceux qu’on nomme les progressistes et les libéraux». On trouvera les trois autres «tentations» discernées par le pape ici.
Dans un discours qualifié de « percutant » par News.va, le réseau d’information officiel du Saint-Siège, et prononcé hier lors de la clôture des travaux du synode extraordinaire sur le famille, le pape François a notamment fustigé les «traditionalistes» et les «progressistes» qui se sont exprimés et affrontés lors des débats entre les Pères synodaux. Parmi les cinq « tentations » que le pape dit avoir discernées dans les échanges synodaux, les deux premières seraient les suivantes. Première : « La tentation du raidissement hostile, c’est-à-dire de vouloir s’enfermer dans la lettre (…), à l’intérieur de la loi, dans la certitude de ce que nous connaissons et non de ce que devons encore apprendre et atteindre. Du temps de Jésus, c’est la tentation des zélotes, des scrupuleux, des empressés et aujourd’hui de ceux qu’on appelle aujourd’hui des “traditionalistes” ou aussi des “intellectualistes”». Deuxième: «La tentation d’un angélisme destructeur, qui au nom d’une miséricorde traîtresse met un pansement sur les blessures sans d’abord les soigner, qui traite les symptômes et non les causes et les racines. C’est la tentation des timorés, et aussi de ceux qu’on nomme les progressistes et les libéraux». On trouvera les trois autres «tentations» discernées par le pape ici.