Depuis sa parution au mois de septembre dernier, le dernier livre de l’abbé Claude Barthe intitulé La Messe à l’endroit, remporte un certain succès. L’entretien que l’auteur a accordé à Daniel Hamiche pour le journal Monde & Vie lui a valu d’être repris un peu partout, sur un grand nombre de blogs français, mais également sur des sites étrangers importants, en Italie, au Portugal et aux États-Unis. Ce lundi, l’abbé Barthe est aussi l’invité de Philippe Maxence sur Radio Courtoisie (après l’avoir été déjà de Denis Sureau et de Daniel Hamiche).
Il est surtout demain mardi l’invité du Centre Saint-Paul de l’abbé de Tanoüarn où il prononcera une conférence sur cette messe à l’endroit dont il appelle le retour dans le cadre de la réforme de la réforme évoquée par le Pape Benoît XVI.
La thèse de l’auteur est la suivante : la critique de la réforme de Paul VI, qui vise à élargir la diffusion de la messe de saint Pie V, et plus largement, son retour dans la vie liturgique normale, doit rencontrer et s’associer à la critique « réformiste » de la réforme de Paul VI, dite « réforme de la réforme », afin de passer à une étape supérieure, aujourd’hui nécessaire et d’un certain point de vue, possible. Possible en raison du changement de mentalité introduit par le motu proprio Summorum Pontificum et de la parole qui commence à se libérer doucement au sujet des questions liturgiques et, même, du Concile Vatican II.
Manque seulement les hommes, c‘est-à-dire ce corps d’évêques que nous qualifions de « Summorum Pontificum ». Des évêques décidaient à appliquer cette revitalisation du catholicisme à partir d’une vie liturgique restaurée. C’est une question de politique et les textes sont insuffisants en eux-mêmes s’ils ne sont pas portés par des hommes.
Il est surtout demain mardi l’invité du Centre Saint-Paul de l’abbé de Tanoüarn où il prononcera une conférence sur cette messe à l’endroit dont il appelle le retour dans le cadre de la réforme de la réforme évoquée par le Pape Benoît XVI.
La thèse de l’auteur est la suivante : la critique de la réforme de Paul VI, qui vise à élargir la diffusion de la messe de saint Pie V, et plus largement, son retour dans la vie liturgique normale, doit rencontrer et s’associer à la critique « réformiste » de la réforme de Paul VI, dite « réforme de la réforme », afin de passer à une étape supérieure, aujourd’hui nécessaire et d’un certain point de vue, possible. Possible en raison du changement de mentalité introduit par le motu proprio Summorum Pontificum et de la parole qui commence à se libérer doucement au sujet des questions liturgiques et, même, du Concile Vatican II.
Manque seulement les hommes, c‘est-à-dire ce corps d’évêques que nous qualifions de « Summorum Pontificum ». Des évêques décidaient à appliquer cette revitalisation du catholicisme à partir d’une vie liturgique restaurée. C’est une question de politique et les textes sont insuffisants en eux-mêmes s’ils ne sont pas portés par des hommes.