[...]
Mais quel combat ?
Dans une de mes récentes lettres au RP Avril, je lui faisais part de mon exacerbation de voir le combat qui se déroule « intra muros » entre « sedevacantistes » et « non-sedevacantistes », entre « una cum » et « non una cum », et je déplorais que l’on ne puisse pas « enterrer la hache de guerre » et livrer, enfin, le même combat contre le même ennemi. Il me fit part, alors, de sa perplexité en ces termes : « Quant à votre projet d’union, sur quel thème qui puise arracher l’adhésion de tous » ? Je lui répondis « En ce qui concerne ce que vous appelez « mon projet d’union » je me suis sans doute mal fait comprendre ! Je n’envisage sûrement pas une « union » de plus, il y en a déjà assez comme ça, je voudrais seulement que l’on mette un terme à la… « désunion » ! C’est sans doute à la suite de cet échange que le Père Avril, dans son « Spécial Salérans » (n° 209 de Septembre Octobre 2009) publie un éditorial que j’approuve entièrement, sous le titre « Une tendance intéressante se fait jour : un désir d’union ». Le voici :
« Ce n’est qu’un frémissement, et dans cette crainte, celle d’un relativisme quelconque, celle des questions de personnes et de toits. Cette union désirable peut-elle se réaliser ? Oui ! C’est le Seigneur qui le demande à toute personne de bonne volonté, et c’est le Seigneur qui nous aidera.
« Pratiquement : si le but de notre combat est la restauration du règne du Christ, nos seuls ennemis sont ceux qui refusent au Christ sa royauté. Si tous ceux qui travaillent à la restauration du règne du Christ ne sont pas nos ennemis, il faut agir avec eux comme avec des frères d’armes.
« Gardons nos positons, gardons notre stratégie. Mais surmontons les questions de personnes et de paroisses, et supprimons, dans nos revues, bulletins, articles et discours, toute lutte, toute critique, toute accusation contre nos frères d’armes. Nous sommes désormais le petit nombre, consacrons nos épées contre nos seuls ennemis. C’est ce qui a été la politique de St Paul : «Omnes prophetent ». Honneur aux combattants contre l’assaut final des forces du mal ! Ce bon combat c’est le combat de la foi !
« Honneur aux combattants droits et purs, ils seront dignes de suivre l’Agneau jusqu’à son trône, pour chanter à jamais: « A Lui, l’honneur, la puissance et la gloire »
[...]
Dans une de mes récentes lettres au RP Avril, je lui faisais part de mon exacerbation de voir le combat qui se déroule « intra muros » entre « sedevacantistes » et « non-sedevacantistes », entre « una cum » et « non una cum », et je déplorais que l’on ne puisse pas « enterrer la hache de guerre » et livrer, enfin, le même combat contre le même ennemi. Il me fit part, alors, de sa perplexité en ces termes : « Quant à votre projet d’union, sur quel thème qui puise arracher l’adhésion de tous » ? Je lui répondis « En ce qui concerne ce que vous appelez « mon projet d’union » je me suis sans doute mal fait comprendre ! Je n’envisage sûrement pas une « union » de plus, il y en a déjà assez comme ça, je voudrais seulement que l’on mette un terme à la… « désunion » ! C’est sans doute à la suite de cet échange que le Père Avril, dans son « Spécial Salérans » (n° 209 de Septembre Octobre 2009) publie un éditorial que j’approuve entièrement, sous le titre « Une tendance intéressante se fait jour : un désir d’union ». Le voici :
« Ce n’est qu’un frémissement, et dans cette crainte, celle d’un relativisme quelconque, celle des questions de personnes et de toits. Cette union désirable peut-elle se réaliser ? Oui ! C’est le Seigneur qui le demande à toute personne de bonne volonté, et c’est le Seigneur qui nous aidera.
« Pratiquement : si le but de notre combat est la restauration du règne du Christ, nos seuls ennemis sont ceux qui refusent au Christ sa royauté. Si tous ceux qui travaillent à la restauration du règne du Christ ne sont pas nos ennemis, il faut agir avec eux comme avec des frères d’armes.
« Gardons nos positons, gardons notre stratégie. Mais surmontons les questions de personnes et de paroisses, et supprimons, dans nos revues, bulletins, articles et discours, toute lutte, toute critique, toute accusation contre nos frères d’armes. Nous sommes désormais le petit nombre, consacrons nos épées contre nos seuls ennemis. C’est ce qui a été la politique de St Paul : «Omnes prophetent ». Honneur aux combattants contre l’assaut final des forces du mal ! Ce bon combat c’est le combat de la foi !
« Honneur aux combattants droits et purs, ils seront dignes de suivre l’Agneau jusqu’à son trône, pour chanter à jamais: « A Lui, l’honneur, la puissance et la gloire »
[...]