SOURCE - Monde et Vie n°832 - 20 septembre 2010
On avait beaucoup présenté le Motu proprio Summorum pontificum comme un acte de miséricorde (voire de tolérance) envers les traditionalistes.Trois ans après, beaucoup de choses ont changé non seulement chez les traditionalistes mais dans toute l’Eglise.On est bien obligé de se rendre compte que le texte du Motu proprio est écrit non pour une catégorie de chrétiens, mais à l’attention de toute l’Eglise, qui, sous l’égide du pape, entame lentement un mouvement de retour liturgique. Sur Radio Notre-Dame, le 14 septembre, jour anniversaire de l’entrée en vigueur du Motu proprio, Louis Daufresne, devenu cette année chef d’édition de la Radio, recevait pour l’émission phare Le grand témoin Mgr Patrick Chauvet, curé de Saint-François- Xavier et Daniel Hamiche ,bien connu de nos lecteurs. L’application de la nouvelle liturgie « a bouleversé des siècles de pratique religieuse » explique notre ami. Et il tombe d’accord avec Mgr Chauvet sur le fait qu’il faut privilégier « l’offre » de la liturgie traditionnelle, pendant que l’abbé Chanut, au téléphone, souligne les difficultés concrètes de l’application dans un diocèse, celui d’Evry. Une parole libre sur les ondes officielles du diocèse de Paris qui augure de bien des déblocages… alors qu’on le sait l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a dû quitter le diocèse d’Agen à cause du mauvais accueil qui lui était fait.
A. H.
On avait beaucoup présenté le Motu proprio Summorum pontificum comme un acte de miséricorde (voire de tolérance) envers les traditionalistes.Trois ans après, beaucoup de choses ont changé non seulement chez les traditionalistes mais dans toute l’Eglise.On est bien obligé de se rendre compte que le texte du Motu proprio est écrit non pour une catégorie de chrétiens, mais à l’attention de toute l’Eglise, qui, sous l’égide du pape, entame lentement un mouvement de retour liturgique. Sur Radio Notre-Dame, le 14 septembre, jour anniversaire de l’entrée en vigueur du Motu proprio, Louis Daufresne, devenu cette année chef d’édition de la Radio, recevait pour l’émission phare Le grand témoin Mgr Patrick Chauvet, curé de Saint-François- Xavier et Daniel Hamiche ,bien connu de nos lecteurs. L’application de la nouvelle liturgie « a bouleversé des siècles de pratique religieuse » explique notre ami. Et il tombe d’accord avec Mgr Chauvet sur le fait qu’il faut privilégier « l’offre » de la liturgie traditionnelle, pendant que l’abbé Chanut, au téléphone, souligne les difficultés concrètes de l’application dans un diocèse, celui d’Evry. Une parole libre sur les ondes officielles du diocèse de Paris qui augure de bien des déblocages… alors qu’on le sait l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a dû quitter le diocèse d’Agen à cause du mauvais accueil qui lui était fait.
A. H.