SOURCE - Paix Liturgique, lettre 264 - 7 janvier 2011
En ce début d’année, nous adressons à tous nos lecteurs nos meilleurs vœux et en particulier celui d’une paix retrouvée entre tous les catholiques au sein des paroisses, des diocèses, comme cela était le cas dans toute l’Église universelle avant l’exclusion des paroisses des fidèles attachés à la forme extraordinaire initiée il y a une quarantaine d’années.
Il y a quelques semaines, nous écoutions avec joie les propos de l'un de nos évêques français qui assurait que les querelles devaient cesser… Bonnes paroles, excellentes paroles… Cela va dans le bon sens et nous nous réjouissons vivement de ce nouveau discours qui commence à se faire jour ici et là. Toutefois, dans le même temps, ces paroles si belles soient-elles, sont dans la pratique bien souvent totalement oubliées.
C’est là le paradoxe actuel : ici de belles paroles ou de belles initiatives en faveur de la paix liturgique ; là des condamnations, des menaces ou des monitum nous rappelant les heures les plus sombres de notre histoire.
Dans cette quête de la paix liturgique, chacun, évêque, prêtre ou simple fidèle, doit prendre sa part de responsabilité.
De notre côté, c’est remplis de l’invitation du Concile à être des femmes et des hommes "debout "que nous continuerons loyalement à jouer un rôle de témoins et de veilleurs en rendant publique la réalité des situations que nous rencontrons. Avaler des couleuvres et se taire face à l’injustice n’a jamais fait avancer les choses. Quoi que fassent les ennemis de la paix, il ne leur sera pas possible demain de dire « nous ignorions tout de cette exclusion, cela ne doit pas recommencer ».
En 2011, nous continuerons donc à adresser notre lettre électronique (publiée aujourd'hui en 6 langues et bientôt en suédois) à plus de 750.000 destinataires à travers le monde entier.
Nous poursuivrons aussi nos enquêtes de terrain sur les cinq continents pour montrer à tous les hommes de bonne volonté combien s'amplifient les mises en pratique des mesures bienveillantes désirées par Benoît XVI dans son Motu Proprio.
Enfin et puisque tous nos précédents sondages réalisés par des organismes professionnels ont démontré – dans le temps et dans l’espace - qu'en moyenne, un tiers des catholiques pratiquants désiraient vivre leur foi catholique au rythme de la liturgie traditionnelle dans leurs propres paroisses et non plus seulement dans des ghettos, nous poursuivrons nos enquêtes en 2011 en commanditant trois nouveaux sondages internationaux :
- Cet hiver, un sondage auprès des catholiques d'Espagne ;
- Au printemps, un sondage auprès des catholiques de Suisse ;
- A l'automne, un sondage auprès des catholiques de Ceylan, en lien avec un entretien exclusif avec le cardinal Ranjith.
Si nous trouvons suffisamment de contributeurs, peut-être lancerons-nous également à l'été deux autres sondages, cette fois-ci auprès des catholiques du Bénélux et d'Argentine.
Ainsi, nous souhaitons mesurer à quel point le désir d'assister à des célébrations « extraordinaires » n'est pas « exclusivement français » comme aiment à le faire croire les ennemis de la paix qui souhaitent limiter la portée du texte de Benoît XVI à une poignée de catholiques pour l’essentiel français.
D'autre part, sous la pression de nombreux catholiques "demandeurs" français des diocèses de Quimper, Perpignan,Vannes, Évry, Nanterre, Lyon, Valence, Angoulême, Reims, Lille, Arras, Nice etc., nous avons décidé de suspendre nos enquêtes en France jusqu'à la venue de nos évêques français en visite ad limina à Rome au printemps... Mais si la charité ne l'emportait pas, nos nombreux donateurs nous aideraient à reprendre et à amplifer nos enquêtes auprès des catholiques français pour montrer dans quelle situation d'exclusion ils se trouvent encore aujourd'hui.... Cependant, prions pour que le bon sens et le sens de l'Église prévalent !
Nous profitons également de ces vœux pour adresser nos remerciements à tous ceux qui se joignent chaque jour plus nombreux à l'immense chaine d'amitié et de solidarité qui se tisse autour de notre œuvre, à nos amis et bienfaiteurs sans qui nous ne pourrions poursuivre et amplifier notre rayonnement, à tous ceux - laïcs, prêtres, religieux et religieuses qui par leurs prières à nos intentions attirent sur notre action un flot de grâces et forment un surnaturel paratonnerre contre les tempêtes qui pourraient nous menacer.
Que l'année 2011 apporte à l'Église et à ses enfants la Paix Liturgique !
Il y a quelques semaines, nous écoutions avec joie les propos de l'un de nos évêques français qui assurait que les querelles devaient cesser… Bonnes paroles, excellentes paroles… Cela va dans le bon sens et nous nous réjouissons vivement de ce nouveau discours qui commence à se faire jour ici et là. Toutefois, dans le même temps, ces paroles si belles soient-elles, sont dans la pratique bien souvent totalement oubliées.
C’est là le paradoxe actuel : ici de belles paroles ou de belles initiatives en faveur de la paix liturgique ; là des condamnations, des menaces ou des monitum nous rappelant les heures les plus sombres de notre histoire.
Dans cette quête de la paix liturgique, chacun, évêque, prêtre ou simple fidèle, doit prendre sa part de responsabilité.
De notre côté, c’est remplis de l’invitation du Concile à être des femmes et des hommes "debout "que nous continuerons loyalement à jouer un rôle de témoins et de veilleurs en rendant publique la réalité des situations que nous rencontrons. Avaler des couleuvres et se taire face à l’injustice n’a jamais fait avancer les choses. Quoi que fassent les ennemis de la paix, il ne leur sera pas possible demain de dire « nous ignorions tout de cette exclusion, cela ne doit pas recommencer ».
En 2011, nous continuerons donc à adresser notre lettre électronique (publiée aujourd'hui en 6 langues et bientôt en suédois) à plus de 750.000 destinataires à travers le monde entier.
Nous poursuivrons aussi nos enquêtes de terrain sur les cinq continents pour montrer à tous les hommes de bonne volonté combien s'amplifient les mises en pratique des mesures bienveillantes désirées par Benoît XVI dans son Motu Proprio.
Enfin et puisque tous nos précédents sondages réalisés par des organismes professionnels ont démontré – dans le temps et dans l’espace - qu'en moyenne, un tiers des catholiques pratiquants désiraient vivre leur foi catholique au rythme de la liturgie traditionnelle dans leurs propres paroisses et non plus seulement dans des ghettos, nous poursuivrons nos enquêtes en 2011 en commanditant trois nouveaux sondages internationaux :
- Cet hiver, un sondage auprès des catholiques d'Espagne ;
- Au printemps, un sondage auprès des catholiques de Suisse ;
- A l'automne, un sondage auprès des catholiques de Ceylan, en lien avec un entretien exclusif avec le cardinal Ranjith.
Si nous trouvons suffisamment de contributeurs, peut-être lancerons-nous également à l'été deux autres sondages, cette fois-ci auprès des catholiques du Bénélux et d'Argentine.
Ainsi, nous souhaitons mesurer à quel point le désir d'assister à des célébrations « extraordinaires » n'est pas « exclusivement français » comme aiment à le faire croire les ennemis de la paix qui souhaitent limiter la portée du texte de Benoît XVI à une poignée de catholiques pour l’essentiel français.
D'autre part, sous la pression de nombreux catholiques "demandeurs" français des diocèses de Quimper, Perpignan,Vannes, Évry, Nanterre, Lyon, Valence, Angoulême, Reims, Lille, Arras, Nice etc., nous avons décidé de suspendre nos enquêtes en France jusqu'à la venue de nos évêques français en visite ad limina à Rome au printemps... Mais si la charité ne l'emportait pas, nos nombreux donateurs nous aideraient à reprendre et à amplifer nos enquêtes auprès des catholiques français pour montrer dans quelle situation d'exclusion ils se trouvent encore aujourd'hui.... Cependant, prions pour que le bon sens et le sens de l'Église prévalent !
Nous profitons également de ces vœux pour adresser nos remerciements à tous ceux qui se joignent chaque jour plus nombreux à l'immense chaine d'amitié et de solidarité qui se tisse autour de notre œuvre, à nos amis et bienfaiteurs sans qui nous ne pourrions poursuivre et amplifier notre rayonnement, à tous ceux - laïcs, prêtres, religieux et religieuses qui par leurs prières à nos intentions attirent sur notre action un flot de grâces et forment un surnaturel paratonnerre contre les tempêtes qui pourraient nous menacer.
Que l'année 2011 apporte à l'Église et à ses enfants la Paix Liturgique !