SOURCE - Bulletin des Amis
de saint François de Sales - mai-juin 2015
Mot anglais très à la mode et auquel plus rien ne semble échapper Voyons, par la définition qu’en donne Wikipédia, ce que ce mot recouvre : «Le branding est, dans le domaine du marketing, la discipline qui consiste à gérer les marques commerciales, et en particulier l’image de marque des entreprises.» Et dans la traduction de “Branding” en français : Branding = marque / Branding = marquant / Branding = fer à marquer (marquer le bétail; autrefois on marquait aussi les prisonniers et les esclaves. Les synonymes sont nombreux «sceau; frappe; estampille; poinçon; empreinte; repère; stigmate; etc…»
Mot anglais très à la mode et auquel plus rien ne semble échapper Voyons, par la définition qu’en donne Wikipédia, ce que ce mot recouvre : «Le branding est, dans le domaine du marketing, la discipline qui consiste à gérer les marques commerciales, et en particulier l’image de marque des entreprises.» Et dans la traduction de “Branding” en français : Branding = marque / Branding = marquant / Branding = fer à marquer (marquer le bétail; autrefois on marquait aussi les prisonniers et les esclaves. Les synonymes sont nombreux «sceau; frappe; estampille; poinçon; empreinte; repère; stigmate; etc…»
Il y a quelques mois, un poste de télévision transmettait
un reportage sur le “Branding”… Il était
question de plaintes de touristes qui, ayant l’habitude
de réserver leurs hôtels en ligne, n’avaient pas trouvé
à leur arrivée à l’hôtel ce qu’ils avaient cru réserver.
Le reporter expliquait en quoi consistait le BRANDING…
précisément à gérer l’image de marque
des entreprises… comment la société gestionnaire convenait des conditions avec le client, et comment
le client s’engageait par contrat moyennant finance, à
respecter les conditions signées… Il expiqua que
plus le financement était élevé, plus la promotion/
protection de l’objet était grande, donc les touristes
étaient invité à la prudence, car l’image qui était donnée
par le promoteur ne correspondait pas nécessairement
à la réalité.
Donc, plus la société est importante, plus le
financement est élevé, et plus le financement est
élevé, plus l’objet du “branding” devient universellement
protégé.
A ce point l’homme du rang se pose la question :
de quelle manière une société donnée, qui a conclut
un contrat avec une société promotrice (branding),
peut-elle jouir d’une protection universellement
garantie ?
Comment tous les professionnels de l’information
sont-ils informés que cette société donnée est
protégée et qu’on ne peut pas y toucher, sauf pour en
dire du bien ? Il y a des milliers de grands quotidiens,
de médias, de chaînes de télévisions dans le
monde… des centaines de milliers de journalistes, et
certains très intègres et de grande valeur, comment
donc échapper à cette toile d’araignée gigantesque ?
La même question se pose quant au “Nouvel
Ordre Mondial” avec son “Gouvernement Mondial”
ou pour la “Super Église Mondiale”. Comment fonctionnent-ils?
Le petit individu du rang est dépassé, mais la
question reste posée… et elle continue de tourner
dans sa tête…
Alors il se dit : «Si je suis journaliste aux antipodes,
que j’aime mon métier et que j’aime informer
objectivement, j’ai là des informations de première
main sur telle société qui intéresseront mes lecteurs,
ou auditeurs, je vais donc écrire mon article,
l’envoyer à mon journal, à mon média, qui le publiera
et lui attirera ainsi de nombreux lecteurs et auditeurs…
Mais je sais qu’il y a le “BRANDING” et que
certaines sociétés payent des sommes considérables
pour qu’on n’y touche pas, sinon pour les louanger…
Comment vais-je savoir si j’ai le droit d’écrire sur
cette société ?
La réponse la plus probable
Il doit forcement y avoir un fichier central
mondial, où chaque entité bénéficiaire de “branding”
est inscrite; auquel toute personne censée
informer le public peut accéder pour savoir si elle
peut ou non écrire son article. (N’oublions pas que
BRANDING signifie “marque”… la société ou entité
est “marquée”. Définition du dictionnaire “Branding
= marque – marquer au fer…)
Le scandale du Vaccin DT-Polio en France illustre parfaitement notre propos
La France est touchée depuis de nombreux mois
par une prétendue “pénurie” de vaccins DT-Polio, un
vaccin pourtant obligatoire. Ce dernier est remplacé
par le «super vaccin» Infarix hexa, contenant 3 vaccins
de plus, non nécessaires, et jugés dangereux par
de nombreux spécialistes de la santé, et comme par
hasard, il coûte 40.– ¤ contre 6,34 ¤ pour le DT -
Polio.
Des parents ont refusé de faire vacciner leurs
enfants avec le nouveau vaccin, disant qu’ils souhaitaient
attendre le retour du DT-Polio, mais ils ont été
condamnés par la justice… aucun média n’a fait
echos aux multiples appels, réactions et réclamations
de Français de tout rang.
Une pétition en ligne lancée par le Pr Henri
Joyeux a récolté 300’000 signatures en 3 jours, et
seulement là les médias ont compris qu’ils ne pouvaient
plus occulter le problème et ont commencé à
en parler.
Il semble donc évident que la société pharmaceutique
dudit vaccin paye suffisamment cher pour que
personne n’ose y toucher, et chaque spécialiste de
l’information le sait.
Donc BRANDING signifie “marque”
A ce point est-il téméraire de rapprocher cette
pratique du BRANDING, adoptée même par des
communautés catholiques (payer une société mondaine
pour s’assurer la protection des maîtres du
monde, et donc le Bon Dieu n’a qu’à bien se tenir);
à Apocalypse XIII, 16 ? La question est posée… A
plus savant que nous d’y répondre, mais pour le petit
chrétien du rang, il ne lui est pas interdit de méditer
sur Apo. XIII, 16 (1).
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1) «Elle fera encore que tous, les petits et les grands,
les riches et les pauvres, les hommes libres et les esclaves,
aient la marque de la bête en leur main droite ou sur le
front, (17); et que personne ne puisse ni acheter ni vendre
que celui qui aura été marqué du nom de la Bête, ou du
chiffre de son nom.. (18) C‘est ici la sagesse. Que celui
qui a de l’intelligence compte le nombre de la Bête; car
c‘est le nombre d‘un homme, et ce chiffre est six cent
soixante six.» (Apo. XIII, 16, Vulgate).