SOURCE - Abbé Alain Lorans - DICI - 16 juillet 2011
Le philosophe italien Enrico Maria Radaelli, disciple de l’auteur de Iota unum, Romano Amerio, propose qu’à l’occasion des 50 ans du Concile Vatican II, il soit respectueusement demandé au pape de poser le « seul acte qui pourrait réconcilier l’enseignement et la doctrine donnés par l’Eglise avant et après la fatale assemblée. Cet acte unique, héroïque, très humble, est d’approcher du feu surnaturel du dogme les doctrines qui sont mal vues par les fidèles de tendance traditionaliste, et celles qui en sont l’opposé : ce qui doit brûler brûlera, ce qui doit resplendir resplendira. D’ici à 2015, nous avons plus de trois ans devant nous. Il faut les utiliser au mieux. » Car pour reconstruire l’Eglise, ajoute-t-il, « le concile œcuménique Vatican II doit être lu selon la grille de la Tradition avec l’audace enflammée du dogme. » C’est pourquoi il souhaite que « cet anniversaire soit pour le Trône le plus élevé la meilleure occasion pour restaurer le divin munus docendi (la charge magistérielle) dans sa plénitude. »
Ce que propose le Professeur Radaelli rejoint le souhait profond de la Fraternité Saint-Pie X. Il est nécessaire que ce concile soit jugé à la lumière du dogme, lui qui s’est dit simplement pastoral, mais qui très vite s’est présenté comme un concile dogmatiquement pastoral, exigeant de fait l’obéissance due aux dogmes. Car, à l’usage, il semble bien que Vatican II véhicule des dogmes qui ne disent pas leur nom. Des dogmes qui ne sont pas définis, et qui veulent pourtant être suivis docilement.
Le philosophe italien Enrico Maria Radaelli, disciple de l’auteur de Iota unum, Romano Amerio, propose qu’à l’occasion des 50 ans du Concile Vatican II, il soit respectueusement demandé au pape de poser le « seul acte qui pourrait réconcilier l’enseignement et la doctrine donnés par l’Eglise avant et après la fatale assemblée. Cet acte unique, héroïque, très humble, est d’approcher du feu surnaturel du dogme les doctrines qui sont mal vues par les fidèles de tendance traditionaliste, et celles qui en sont l’opposé : ce qui doit brûler brûlera, ce qui doit resplendir resplendira. D’ici à 2015, nous avons plus de trois ans devant nous. Il faut les utiliser au mieux. » Car pour reconstruire l’Eglise, ajoute-t-il, « le concile œcuménique Vatican II doit être lu selon la grille de la Tradition avec l’audace enflammée du dogme. » C’est pourquoi il souhaite que « cet anniversaire soit pour le Trône le plus élevé la meilleure occasion pour restaurer le divin munus docendi (la charge magistérielle) dans sa plénitude. »
Ce que propose le Professeur Radaelli rejoint le souhait profond de la Fraternité Saint-Pie X. Il est nécessaire que ce concile soit jugé à la lumière du dogme, lui qui s’est dit simplement pastoral, mais qui très vite s’est présenté comme un concile dogmatiquement pastoral, exigeant de fait l’obéissance due aux dogmes. Car, à l’usage, il semble bien que Vatican II véhicule des dogmes qui ne disent pas leur nom. Des dogmes qui ne sont pas définis, et qui veulent pourtant être suivis docilement.