SOURCE - Ennemond - Forum Catholique - 11 novembre
Sur Radio Courtoisie hier, les abbés Barthe, Celier, Chanut et de Tanoüarn parlaient des discussions doctrinales entre le Saint-Siège et la Fraternité Saint-Pie X.
- L'abbé de Tanoüarn, très catégorique, affirmait que ces discussions servaient essentiellement à régler le sort de la Fraternité Saint-Pie X et qu'il se réjouissait de ne pas participer à ces colloques.
- les abbés Barthe et Chanut, assez courtois, lui disaient que, sans être en "désaccord" avec lui, ils pensaient que ces discussions dépassaient le seul sort de la FSSPX. Je trouve même que l'abbé Barthe, qui a longtemps prêché en faveur d'accords pratiques, était assez honnête et courageux de l'affirmer.
- l'abbé Celier - il me semble qu'il faisait preuve de bon sens - a rappellé que la FSSPX, ne cherchant pas à régler un sort personnel, a préféré négliger une proposition d'accords purement pratiques pour entamer des discussions doctrinales qui aient une influence sur l'Eglise toute entière. C'est, je crois, ce que j'ai expliqué dans ce post. Il est clair que l'Eglise vit à l'unisson de ces dialogues dont ne cessent de parler les medias. Chaque jour nous en voyons les effets.
Un cardinal de la Curie ne disait pas autre chose en affirmant récemment : "De ces colloques, nous attendons énormément pour l'Eglise". Il est bien clair qu'il ne s'agit pas que du règlement canonique d'une société religieuse qui compte seulement quelques centaines de prêtres.
Quelques jours auparavant, un responsable d'une communauté ED me disait : "Continuez. Sans la FSSPX, nous ne pouvons plus rien faire."
Alors, ces discussions ne sont-elles qu'une procédure canonique pour une petite congrégation ?
Sur Radio Courtoisie hier, les abbés Barthe, Celier, Chanut et de Tanoüarn parlaient des discussions doctrinales entre le Saint-Siège et la Fraternité Saint-Pie X.
- L'abbé de Tanoüarn, très catégorique, affirmait que ces discussions servaient essentiellement à régler le sort de la Fraternité Saint-Pie X et qu'il se réjouissait de ne pas participer à ces colloques.
- les abbés Barthe et Chanut, assez courtois, lui disaient que, sans être en "désaccord" avec lui, ils pensaient que ces discussions dépassaient le seul sort de la FSSPX. Je trouve même que l'abbé Barthe, qui a longtemps prêché en faveur d'accords pratiques, était assez honnête et courageux de l'affirmer.
- l'abbé Celier - il me semble qu'il faisait preuve de bon sens - a rappellé que la FSSPX, ne cherchant pas à régler un sort personnel, a préféré négliger une proposition d'accords purement pratiques pour entamer des discussions doctrinales qui aient une influence sur l'Eglise toute entière. C'est, je crois, ce que j'ai expliqué dans ce post. Il est clair que l'Eglise vit à l'unisson de ces dialogues dont ne cessent de parler les medias. Chaque jour nous en voyons les effets.
Un cardinal de la Curie ne disait pas autre chose en affirmant récemment : "De ces colloques, nous attendons énormément pour l'Eglise". Il est bien clair qu'il ne s'agit pas que du règlement canonique d'une société religieuse qui compte seulement quelques centaines de prêtres.
Quelques jours auparavant, un responsable d'une communauté ED me disait : "Continuez. Sans la FSSPX, nous ne pouvons plus rien faire."
Alors, ces discussions ne sont-elles qu'une procédure canonique pour une petite congrégation ?