SOURCE - Ennemond - Fecit - 23 août 2011
On sent déjà une effervescence naître à l'approche de cette date du 14 septembre. Un article affirmait ces jours-ci que l'issue de cette réunion pouvait s'avérer très ouverte tant il y a des courants divers au sein de la Fraternité Saint-Pie X. Sans doute les propos de l'évêque britannique ne seraient-ils pas tenus par son supérieur général, mais je ne pense pas que l'inconnu se trouve de ce côté là. Malgré tout, le chapitre général de la Fraternité, qui se tiendra en temps et en heure s'il y a des propositions faites par le Saint-Siège, n'est constitué que de quarante personnes et tous suivent la position pragmatique de leur fondateur qui est mort il y a vingt ans seulement. La situation de cette oeuvre est assez exposée- on ne parle plus de ligne de crête mais de fil du rasoir disait un éminent membre de la Fraternité - pour que les avis les plus divergents se soient déjà éclipsés sur une planète Ecclesia Dei ou atomisés sous forme d'astéroïdes sédévacantistes.
Autrement plus important est l'abîme qui peut exister entre les esprits régnant sur la curie qui vont de la foi catholique aux divagations néo-modernistes. Récemment, Mgr Pozzo a demandé à Mgr Fellay de dire à ses fidèles que tout ce qui venait de Rome ne venait pas forcément du pape, cela montre un peu l'état de guerre qui existe au sein du Vatican. Le dicastère de Mgr Pozzo propose même de ne pas tenir compte de certaines condamnations fulminées par un autre dicastère. Il n'y a pas que certains diocèses qui sont hors contrôle, il y a également des dicastères romains.
Or, c'est Rome qui doit apporter une solution. Celle-ci dépendra des rapports de force existant au sein de la Curie. C'est pourquoi, dans toute la littérature parue ces derniers jours, la plus sensée me semble être celle d'Austremoine, qui envisage tous les cas de figure devant lesquels la Fraternité peut être confrontée. Demain, elle peut être reconnue de facto comme elle peut-être condamnée à nouveau. C'est pourquoi, cette solution dépendra aussi et surtout des offrandes, prières et sacrifices que nous, fidèles, pourront consentir pour une issue bienheureuse. Ne les négligeons pas car ils porteront plus de fruits que les pronostics hasardeux.
On sent déjà une effervescence naître à l'approche de cette date du 14 septembre. Un article affirmait ces jours-ci que l'issue de cette réunion pouvait s'avérer très ouverte tant il y a des courants divers au sein de la Fraternité Saint-Pie X. Sans doute les propos de l'évêque britannique ne seraient-ils pas tenus par son supérieur général, mais je ne pense pas que l'inconnu se trouve de ce côté là. Malgré tout, le chapitre général de la Fraternité, qui se tiendra en temps et en heure s'il y a des propositions faites par le Saint-Siège, n'est constitué que de quarante personnes et tous suivent la position pragmatique de leur fondateur qui est mort il y a vingt ans seulement. La situation de cette oeuvre est assez exposée- on ne parle plus de ligne de crête mais de fil du rasoir disait un éminent membre de la Fraternité - pour que les avis les plus divergents se soient déjà éclipsés sur une planète Ecclesia Dei ou atomisés sous forme d'astéroïdes sédévacantistes.
Autrement plus important est l'abîme qui peut exister entre les esprits régnant sur la curie qui vont de la foi catholique aux divagations néo-modernistes. Récemment, Mgr Pozzo a demandé à Mgr Fellay de dire à ses fidèles que tout ce qui venait de Rome ne venait pas forcément du pape, cela montre un peu l'état de guerre qui existe au sein du Vatican. Le dicastère de Mgr Pozzo propose même de ne pas tenir compte de certaines condamnations fulminées par un autre dicastère. Il n'y a pas que certains diocèses qui sont hors contrôle, il y a également des dicastères romains.
Or, c'est Rome qui doit apporter une solution. Celle-ci dépendra des rapports de force existant au sein de la Curie. C'est pourquoi, dans toute la littérature parue ces derniers jours, la plus sensée me semble être celle d'Austremoine, qui envisage tous les cas de figure devant lesquels la Fraternité peut être confrontée. Demain, elle peut être reconnue de facto comme elle peut-être condamnée à nouveau. C'est pourquoi, cette solution dépendra aussi et surtout des offrandes, prières et sacrifices que nous, fidèles, pourront consentir pour une issue bienheureuse. Ne les négligeons pas car ils porteront plus de fruits que les pronostics hasardeux.