Petrus - 14 octobre 2014
Comme c'était prévisible le “synode” sur la famille ouvre la voie à la communion pour les divorcés remariés, absout voire légitime le concubinage tant hétérosexuel qu'homosexuel. C'est la logique de Vatican II. On a tout détruit méthodiquement depuis la mort de Pie XII : la liturgie, la doctrine, la morale, les Etats, syndicats, écoles et mouvements catholiques, on a fait perdre la foi à des millions de baptisés. Quand donc acceptera-t-on de voir la vérité en face ? Cette église n'est pas l'Eglise de Jésus-Christ. Elle n'en a ni les notes ni les sacrements ni la sainteté. Il s'agit d'une contre-église, d'une fausse église, celle de l'Antéchrist. Ces occupants du siège de Pierre depuis Jean XXIII ne sont pas les vicaires du Christ mais des suppôts du diable. Et la Fraternité Saint Pie X n'est pas l'arche de salut dans la tempête moderniste. Elle est l'opposition officielle à l'église conciliaire dont elle reconnaît l'autorité et la légitimité. Elle reconnaît l'autorité de ses chefs, la validité de ses sacrements et utilise même son code de droit canon, celui de 1983. Quand on voit ce que dit et ce que fait Bergoglio, reprendre des discussions avec lui pour se diriger vers la "pleine réconciliation” (selon le communiqué officiel du Vatican du 23 septembre) est une infamie. Si Jean XXIII, Paul VI et ses successeurs ont détruit l'Eglise, l'ont éclipsée, Mgr Lefebvre et ses successeurs ont eux aussi été des démolisseurs, ô combien efficaces, en ne disant pas toute la vérité sur ce qui se passait et en persécutant ceux qui affirmaient, conformément à la foi catholique, que cette révolution satanique ne pouvait venir de l'Eglise catholique et de vrais papes. Lefebvre et Fellay ne sont pas les sauveurs de la résistance catholique ; ils en sont les fossoyeurs. Telle est la vérité, celle qui rend libre.
Comme c'était prévisible le “synode” sur la famille ouvre la voie à la communion pour les divorcés remariés, absout voire légitime le concubinage tant hétérosexuel qu'homosexuel. C'est la logique de Vatican II. On a tout détruit méthodiquement depuis la mort de Pie XII : la liturgie, la doctrine, la morale, les Etats, syndicats, écoles et mouvements catholiques, on a fait perdre la foi à des millions de baptisés. Quand donc acceptera-t-on de voir la vérité en face ? Cette église n'est pas l'Eglise de Jésus-Christ. Elle n'en a ni les notes ni les sacrements ni la sainteté. Il s'agit d'une contre-église, d'une fausse église, celle de l'Antéchrist. Ces occupants du siège de Pierre depuis Jean XXIII ne sont pas les vicaires du Christ mais des suppôts du diable. Et la Fraternité Saint Pie X n'est pas l'arche de salut dans la tempête moderniste. Elle est l'opposition officielle à l'église conciliaire dont elle reconnaît l'autorité et la légitimité. Elle reconnaît l'autorité de ses chefs, la validité de ses sacrements et utilise même son code de droit canon, celui de 1983. Quand on voit ce que dit et ce que fait Bergoglio, reprendre des discussions avec lui pour se diriger vers la "pleine réconciliation” (selon le communiqué officiel du Vatican du 23 septembre) est une infamie. Si Jean XXIII, Paul VI et ses successeurs ont détruit l'Eglise, l'ont éclipsée, Mgr Lefebvre et ses successeurs ont eux aussi été des démolisseurs, ô combien efficaces, en ne disant pas toute la vérité sur ce qui se passait et en persécutant ceux qui affirmaient, conformément à la foi catholique, que cette révolution satanique ne pouvait venir de l'Eglise catholique et de vrais papes. Lefebvre et Fellay ne sont pas les sauveurs de la résistance catholique ; ils en sont les fossoyeurs. Telle est la vérité, celle qui rend libre.
Petrus.