SOURCE - Maximilien Bernard - Perepiscopus - 9 février 2013
Hier soir, le Saint-Père s’est rendu au séminaire de Rome et devant les séminaristes, il a longuement parlé, sans note, avec son coeur. Parmi tant d’autres choses (le discours a été traduit par le blogue Benoît-et-moi), il a évoqué la période post-conciliaire, condamnant le faux optimisme qui a régné (et règne encore) au sein de certains milieux catholiques. Et je pense bien entendu à la France, où l’épiscopat ne cesse de baigner dans ce faux optimisme:
Hier soir, le Saint-Père s’est rendu au séminaire de Rome et devant les séminaristes, il a longuement parlé, sans note, avec son coeur. Parmi tant d’autres choses (le discours a été traduit par le blogue Benoît-et-moi), il a évoqué la période post-conciliaire, condamnant le faux optimisme qui a régné (et règne encore) au sein de certains milieux catholiques. Et je pense bien entendu à la France, où l’épiscopat ne cesse de baigner dans ce faux optimisme:
«Le faux optimisme comme après le Concile, quand les couvents fermaient, les séminaires fermaient: non, ce n’est rien, tout va bien! Non, tout ne va pas bien. Il y a aussi des chutes graves, dangereuses, et nous devons reconnaître avec un sain réalisme qu’on ne va pas là où de mauvaises choses se font.»