SOURCE - Yves Daoudal - 14 mars 2013
En moins de 24 heures, le nouveau pape aura multiplié les gestes de rupture.
Les dernières en date : lors de sa première messe, à la chapelle Sixtine. Dans des ornements moches dignes des pires évêques français.
On se souvient de Benoît XVI faisant enlever le faux autel de la messe « face au peuple » et célébrant la messe ad orientem sur le maître autel. Le nouveau pape a fait réinstaller le faux autel pour célébrer dos à Dieu.
Il n’a pas chanté la préface. Il ne chante d’ailleurs rien. Une perte de temps, sans doute.
Pire encore, il ne fait pas de génuflexion après la consécration, alors que c’est évidemment obligatoire, même dans le missel de Paul VI.
En fait, il fait tout comme chez nous… Nos évêques vont trouver que la nouvelle liturgie pontificale est excellente…
En moins de 24 heures, le nouveau pape aura multiplié les gestes de rupture.
Les dernières en date : lors de sa première messe, à la chapelle Sixtine. Dans des ornements moches dignes des pires évêques français.
On se souvient de Benoît XVI faisant enlever le faux autel de la messe « face au peuple » et célébrant la messe ad orientem sur le maître autel. Le nouveau pape a fait réinstaller le faux autel pour célébrer dos à Dieu.
Il n’a pas chanté la préface. Il ne chante d’ailleurs rien. Une perte de temps, sans doute.
Pire encore, il ne fait pas de génuflexion après la consécration, alors que c’est évidemment obligatoire, même dans le missel de Paul VI.
En fait, il fait tout comme chez nous… Nos évêques vont trouver que la nouvelle liturgie pontificale est excellente…