SOURCE - Abbé Brice Meissonnier, fssp - Communicantes - octobre 2015
Mes bien aimés paroissiens, le dimanche 4 octobre, s’est ouvert à Rome la deuxième session du synode sur la famille, qui durera jusqu’au 25 octobre. Ce n’est que dans un an, à l’occasion de la publication par le pape de l’instruction post-synodale, que nous en aurons les véritables conclusions magistérielles. Comme vous le savez, les enjeux de ce synode sont essentiels et c’est la raison pour laquelle je ne peux que vous demander et vous encourager à prier avec beaucoup de ferveur en ce mois du Rosaire. Priez tout particulièrement le chapelet ou une dizaine de chapelet en famille et à cette importante intention.
Mes bien aimés paroissiens, le dimanche 4 octobre, s’est ouvert à Rome la deuxième session du synode sur la famille, qui durera jusqu’au 25 octobre. Ce n’est que dans un an, à l’occasion de la publication par le pape de l’instruction post-synodale, que nous en aurons les véritables conclusions magistérielles. Comme vous le savez, les enjeux de ce synode sont essentiels et c’est la raison pour laquelle je ne peux que vous demander et vous encourager à prier avec beaucoup de ferveur en ce mois du Rosaire. Priez tout particulièrement le chapelet ou une dizaine de chapelet en famille et à cette importante intention.
Ne nous laissons pas déstabiliser ou scandaliser par avance par les propos des médias. Il y aura ces jours-ci beaucoup d’agitations médiatiques pour essayer de faire pression sur le synode, agitations qui d’ailleurs ont déjà commencé. Ces derniers jours, des cardinaux et des évêques ont pu s’inquiéter des manigances et des moyens de pression de certains pour tenter d’influencer le synode. L’enseignement du Christ est immuable. Il ne peut donc changer au gré des vicissitudes du temps, des lieux et des personnes ! Un synode peut éclairer un point de doctrine, le souligner ou définir une attitude pastorale. Mais un synode ne peut certainement pas changer la Vérité enseignée par le Christ et son Eglise depuis vingt siècles.
Nous sommes catholiques et donc plein d’espérance et de confiance en Dieu. Ce que nous demande l’Eglise en ce mois d’octobre, c’est de nous tourner vers Notre-Dame par la prière du chapelet et d’honorer Marie comme celle qui nous obtient et nous obtiendra les victoires dans les situations les plus difficiles. Le rosaire c’est l’arme des combats de Dieu, une arme toute pacifique qui a été à toutes les époques l’instrument des coeurs apostoliques. «Par le rosaire on peut tout obtenir ; tant que le rosaire sera médité, Dieu ne pourra abandonner le monde et l’Eglise. Il n’y a certainement pas de prière qui soit plus agréable à Dieu que le rosaire.» (Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus) Prions donc Notre-Dame du rosaire, Notre-Dame de la Victoire, pour que la famille catholique soit toujours un modèle et un idéal pour les hommes et les femmes de tous les temps.
Abbé Brice Meissonnier, fssp