SOURCE - Tintin - Fecit - 24 mars 2012
L'abbé Navas, responsable de l'IBP en Amérique du Sud commente la lettre ouverte de Mgr Nicolas Bux sur sa page facebook :
Mgr Nicolas Bux lance un appel à Mgr Fellay :
« Dans la pleine communion ecclésiale avec la grande famille que constitue l'Église catholique, votre voix ne sera pas étouffée, votre engagement ne sera ni négligeable ni négligé mais pourra donner, avec celui de tant d'autres, des fruits abondants qui demeureraient autrement gâchés. »
Comme j’aimerais que ces belles choses soient vraies :
Je ne nie pas la bonne volonté de Mgr Nicolas Bux, mais la réalité est toute autre et le traitement réservé à l’Institut du Bon Pasteur (IBP) par une partie des évêques du Chili, en particulier de Santiago et ses environs, prouve le contraire. Ils n’acceptent pas l’IBP avec sa spécificité reçue du Saint Siège et consacrée par l’approbation de ses statuts. On va jusqu’à nier son existence canonique. Mépris et dédain, indifférence et relégation, telles sont les formes modernes de persécution ecclésiastique de cette partie de « la grande famille catholique ». […] Célébrer exclusivement selon le rite traditionnel, s’engager, à l’appui de nos statuts, à collaborer avec le pape, quand cela est possible, à une lecture du concile Vatican II à la lumière de la Tradition, voilà le « grand péché ».