SOURCE - Abbé Grégoire Celier, fsspx - date non précisée
[Nous ne donnons que la conclusion de cette etude de 43 pages que l'on lira au format pdf]
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Simple membre de la Fraternité Saint-Pie X, nous n’avons aucune compétence pour déterminer si oui ou non la Fraternité Saint-Pie X doit signer un accord avec la Rome actuelle, nous n’avons aucune autorité pour trancher en un sens ou un autre.
Simple membre de la Fraternité Saint-Pie X, nous n’avons aucune compétence pour déterminer si oui ou non la Fraternité Saint-Pie X doit signer un accord avec la Rome actuelle, nous n’avons aucune autorité pour trancher en un sens ou un autre.
Le choix de signer éventuellement un accord avec Rome, ou de ne pas le signer, revient en effet exclusivement au Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, après la convocation d’un Chapitre général extraordinaire (selon qu’il a été statué par le Chapitre général de la Fraternité Saint-Pie X en juillet 2006), et seulement si une telle décision lui apparaît conforme à la volonté de Dieu.
Notre but a consisté à montrer qu’en l’état actuel des choses, aucun argument probant ne contraint le Supérieur général d’agir d’une façon plutôt que d’une autre, et que sa prudente liberté de chef demeure entière.
Sans donc vouloir obliger le Supérieur général à avoir des relations avec la Rome actuelle, et des relations de telle nature plutôt que de telle autre, nous avons voulu montrer que rien ne lui interdit (et en tout cas pas les enseignements de Mgr Lefebvre) d’avoir s’il le juge utile des relations avec cette Rome.
Sans vouloir interdire au Supérieur général de signer un accord avec la Rome actuelle, si à son jugement prudent les conditions en sont réunies, et si un Chapitre général extraordinaire lui en accorde le mandat, nous avons voulu montrer que rien ne l’oblige impérativement à signer un tel accord dans un bref délai.
Notre travail n’avait donc que ce modeste objet : mettre en lumière que Mgr Bernard Fellay, actuel Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, n’est ni empêché d’avoir des relations avec la Rome actuelle, ni obligé de signer un accord avec cette même Rome dans les plus brefs délais.
Par la même occasion, nous avons pu souligner implicitement que Mgr Fellay n’est ni obligé d’avoir telles ou telles relations avec Rome, ni empêché de signer un accord avec elle, si les conditions en sont remplies. Et tout cela dans la parfaite fidélité à l’héritage de Mgr Marcel Lefebvre.