SOURCE - Si Scires Donum Dei - 3 juillet 2012
Dix questions à Arsène Lupin, en réponse à son propre questionnaire
1 – Admettez-vous qu’il ne peut y avoir de visibilité de l’Eglise que dans la mesure où elle a à sa tête le Pape, évêque de Rome et successeur de Pierre ?
2 – Reconnaissez-vous le Pape Benoît XVI comme le Pape légitime, évêque de Rome, légitime successeur de Pierre et détenteur de la suprême autorité apostolique ?
3 – Admettez-vous qu’en ce début du 21ème siècle, l’Eglise Catholique est encore visible et gouvernée par le Saint-Esprit ?
4 – Admettez-vous que si le Pape commande dans un domaine qui n'implique ni la Foi ni les mœurs, il n'appartient alors qu’au Supérieur Général de la Fraternité, qui seul a les éléments pour juger, de déterminer s'il faut, de manière prudentiel, suivre cette demande ?
5 – Admettez-vous que quand bien même le but recherché, en se dressant contre l’autorité légitime de la Fraternité, serait bon (ce que je ne concède pas), la fin ne justifie pas les moyens ?
6 – Concédez-vous que l'emploi de moyens subversifs (si peu évangéliques puisque essentiellement révolutionnaires) même utilisés pour une fin bonne, rend l'action peccamineuse et coupable, selon le principe de la théologie morale qui veut qu'un acte humain devient mauvais si un seul élément qui le constitue est mauvais ?
7 – Reconnaissez-vous que l'emploi de moyens révolutionnaires entache d'une grave suspicion la droite intention de ceux qui utilisent de tels moyens ?
8 – Admettez-vous que, quand un supérieur a affirmé, à plusieurs reprises, son attachement à continuer fidèlement l’œuvre qui lui a été confiée, il devient odieux et subversif de mettre ouvertement sa parole en doute en posant insidieusement des questions auxquelles il a pourtant déjà répondu en partie, et à la réponse desquelles vous n’apporterez de toute façon aucun crédit, puisque vous avez déjà refusé d'écouter ses protestations de fidélité ?
9 – Pensez-vous que son Excellence Monseigneur Lefebvre en signant en mai 1988 le protocole d’accord (reconnaissant notamment le Concile interprété à la lumière de la Tradition et le nouveau code de Droit Canon), avait lui-même trahit la cause de la Tradition, puisque trois mois après les sacres il estimait toujours qu’en conscience ce document pouvait être signé ?
10 – Ne trouvez-vous pas particulièrement troublant que tous ceux qui contestent l’autorité du Supérieur Général soient devenus les alliés objectifs des milieux sédévacantistes les plus extrêmes ?
Dix questions à Arsène Lupin, en réponse à son propre questionnaire
1 – Admettez-vous qu’il ne peut y avoir de visibilité de l’Eglise que dans la mesure où elle a à sa tête le Pape, évêque de Rome et successeur de Pierre ?
2 – Reconnaissez-vous le Pape Benoît XVI comme le Pape légitime, évêque de Rome, légitime successeur de Pierre et détenteur de la suprême autorité apostolique ?
3 – Admettez-vous qu’en ce début du 21ème siècle, l’Eglise Catholique est encore visible et gouvernée par le Saint-Esprit ?
4 – Admettez-vous que si le Pape commande dans un domaine qui n'implique ni la Foi ni les mœurs, il n'appartient alors qu’au Supérieur Général de la Fraternité, qui seul a les éléments pour juger, de déterminer s'il faut, de manière prudentiel, suivre cette demande ?
5 – Admettez-vous que quand bien même le but recherché, en se dressant contre l’autorité légitime de la Fraternité, serait bon (ce que je ne concède pas), la fin ne justifie pas les moyens ?
6 – Concédez-vous que l'emploi de moyens subversifs (si peu évangéliques puisque essentiellement révolutionnaires) même utilisés pour une fin bonne, rend l'action peccamineuse et coupable, selon le principe de la théologie morale qui veut qu'un acte humain devient mauvais si un seul élément qui le constitue est mauvais ?
7 – Reconnaissez-vous que l'emploi de moyens révolutionnaires entache d'une grave suspicion la droite intention de ceux qui utilisent de tels moyens ?
8 – Admettez-vous que, quand un supérieur a affirmé, à plusieurs reprises, son attachement à continuer fidèlement l’œuvre qui lui a été confiée, il devient odieux et subversif de mettre ouvertement sa parole en doute en posant insidieusement des questions auxquelles il a pourtant déjà répondu en partie, et à la réponse desquelles vous n’apporterez de toute façon aucun crédit, puisque vous avez déjà refusé d'écouter ses protestations de fidélité ?
9 – Pensez-vous que son Excellence Monseigneur Lefebvre en signant en mai 1988 le protocole d’accord (reconnaissant notamment le Concile interprété à la lumière de la Tradition et le nouveau code de Droit Canon), avait lui-même trahit la cause de la Tradition, puisque trois mois après les sacres il estimait toujours qu’en conscience ce document pouvait être signé ?
10 – Ne trouvez-vous pas particulièrement troublant que tous ceux qui contestent l’autorité du Supérieur Général soient devenus les alliés objectifs des milieux sédévacantistes les plus extrêmes ?