SOURCE - Abbaye Saint-Paul de Wisques - 13 janvier 2013
L’abbaye saint Paul, depuis sa fondation par l’abbaye saint Pierre de Solesmes, en 1889, s’est peu à peu développée jusqu’à compter une soixantaine de moines, dans les années 60 : elle a même essaimé aux Pays-bas, (1901-1920) fondant l’abbaye Saint Paul d’Oosterhout, qui elle-même eut trois abbayes – filles en Hollande : à Egmond, Slangenburg et Vaals.
Mais comme tout vivant mortel, l’abbaye a vu, depuis quelques années, ses forces diminuer et ses effectifs se réduire tout doucement ; au point qu’il était sérieusement envisagé de la fermer, comme il a été fait pour l’abbaye de Belval, l’an dernier, et de voir ses moines dispersés dans d’autres abbayes de la Congrégation.
Heureusement l’une d’elles, Notre Dame de Fontgombault (également fondée par Solesmes, en 1948) se propose de relever le défi de la survie de sa sœur ainée, en projetant d’y envoyer un groupe relativement important de jeunes moines. Le projet pourrait voir le jour à l’automne prochain, permettant à notre Abbaye de continuer sa mission d’être un foyer de prière et d’accueil monastique, selon la Règle de Saint Benoit, en notre diocèse, pauvre en communautés contemplatives, depuis la disparition des Cisterciennes de Belval et des Visitandines de Boulogne.
Dès le 7 Janvier quatre frères vont venir, pour trois semaines, nous aider et s’initier aux futures tâches qui seront les leurs, tant dans la vie courante de la communauté, (comme la cuisine), que pour l’entretien des bâtiments (le réseau électrique pour commencer), et la gestion de l’Atelier de céramique.
Rendons grâce à la divine Providence qui « dispose toutes choses avec force et douceur », comme nous l’avons chanté dans une antienne célèbre de la Liturgie de l’Avent ; et continuons de prier pour que ce projet se réalise vraiment, « pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de son Saint Nom ».
L’abbaye saint Paul, depuis sa fondation par l’abbaye saint Pierre de Solesmes, en 1889, s’est peu à peu développée jusqu’à compter une soixantaine de moines, dans les années 60 : elle a même essaimé aux Pays-bas, (1901-1920) fondant l’abbaye Saint Paul d’Oosterhout, qui elle-même eut trois abbayes – filles en Hollande : à Egmond, Slangenburg et Vaals.
Mais comme tout vivant mortel, l’abbaye a vu, depuis quelques années, ses forces diminuer et ses effectifs se réduire tout doucement ; au point qu’il était sérieusement envisagé de la fermer, comme il a été fait pour l’abbaye de Belval, l’an dernier, et de voir ses moines dispersés dans d’autres abbayes de la Congrégation.
Heureusement l’une d’elles, Notre Dame de Fontgombault (également fondée par Solesmes, en 1948) se propose de relever le défi de la survie de sa sœur ainée, en projetant d’y envoyer un groupe relativement important de jeunes moines. Le projet pourrait voir le jour à l’automne prochain, permettant à notre Abbaye de continuer sa mission d’être un foyer de prière et d’accueil monastique, selon la Règle de Saint Benoit, en notre diocèse, pauvre en communautés contemplatives, depuis la disparition des Cisterciennes de Belval et des Visitandines de Boulogne.
Dès le 7 Janvier quatre frères vont venir, pour trois semaines, nous aider et s’initier aux futures tâches qui seront les leurs, tant dans la vie courante de la communauté, (comme la cuisine), que pour l’entretien des bâtiments (le réseau électrique pour commencer), et la gestion de l’Atelier de céramique.
Rendons grâce à la divine Providence qui « dispose toutes choses avec force et douceur », comme nous l’avons chanté dans une antienne célèbre de la Liturgie de l’Avent ; et continuons de prier pour que ce projet se réalise vraiment, « pour la plus grande gloire de Dieu et l’honneur de son Saint Nom ».