Un bankster s’approche-t-il de la lumière ?Prions pour les foules restées dans sa condition première.
Tous les jours, notre âme joue le grand drame de sa courte vie sur terre. Lorsque nous faisons usage de notre libre arbitre, nous optons ou bien pour la Vérité de Notre-Seigneur Jésus-Christ et nous atteignons ainsi la béatitude éternelle ; ou bien nous nous laissons séduire par les tromperies du démon et finissons, à la mort, écrasés dans l’éternité des tourments de l’enfer. “On ne se moque pas de Dieu” (Gal. VI, 7), mais Il veille sur chaque âme en particulier, faisant tout pour la conduire au Ciel, sans pour autant lui ôter le libre arbitre dont Il l’a dotée. Mais en fait, la plupart des âmes préfèrent l’enfer (Mt. VII, 13–14) ! On voit pourtant quelques âmes lutter pour parvenir à la lumière. C’est notamment le cas de ce banquier néerlandais contemporain, tombé dans les pièges du démon, dont on peut écouter les déclarations sur Internet (youtu.be/cRuKmxQSPSw).
Le père de Ronald Bernard était
un personnage peu commode qui amena son fils encore enfant, à croire que le
monde et les hommes étaient « plutôt médiocres ». C’est
pourquoi, dans sa jeunesse, son idéal se bornait à gagner le plus d’argent
possible. Ses qualités naturelles lui permirent de réussir dans plusieurs
genres d’affaires, jusqu’au jour où un courtier avec qui il travaillait, lui
expliqua que, s’il voulait vraiment gagner de l’argent, il devait s’orienter
vers la finance, à condition d’être capable de “laisser sa conscience au
congélateur”. RB rit bien, car son « instinct de conservation » lui
avait appris depuis longtemps à faire de sa conscience ce qu’il voulait. Il
entra donc dans la finance, où les mêmes dons naturels le firent grimper de
plus en plus haut.
Selon lui, sans avoir jamais
atteint le sommet, il en était tout près. Ses banques clientes recherchaient
des spécialistes capables de manipuler de grosses sommes d’argent de telle
sorte que personne, à part ceux qui étaient au courant, ne pourrait soupçonner
ce qui se tramait. C’est ainsi que l’élite maintient sa position au détriment
du reste de la société, dit RB. Il ajoute : « si vous voulez
vraiment savoir ce qui se passe, suivez le fil de l’argent. ». Il adorait
jouer, comme il dit, à manipuler des fonds considérables, et il y fit merveille
pendant cinq ans. C’est ainsi qu’il apprit comment les banquiers, les
gouvernements, les services secrets, les organisations terroristes, etc.,
jouent en réalité tous ensemble, si bien que « le monde, que nous
pensons connaître, n’est qu’une illusion en laquelle nous croyons.”
Cependant, en voyant la misère
humaine engendrée par la primauté de l’argent, sa conscience finit par se
ranimer. Un jour, un collègue lui raconta comment une affaire qu’ils avaient
réussie pour faire chuter la Lire avait provoqué la banqueroute de la
compagnie commerciale d’un père de famille qui ensuite se suicida. RB se
contenta d’abord d’en rire, mais plus tard, il découvrit que la plupart des
gens avec lesquels il travaillait étaient lucifériens, et prenaient Lucifer
très au sérieux. Lui, au contraire, trouvait leurs cérémonies plutôt amusantes
– jusqu’au jour où il fut invité à participer à une cérémonie de sacrifice
d’enfant. S’il avait participé, les lucifériens auraient pu mettre le grappin
sur lui et le faire chanter. Se souvenant de sa propre triste enfance, il
refusa.
Il comprit alors qu’il existe
« tout un monde invisible ». A cette époque, Il se met à
lire, à faire des découvertes et à établir des liens. Il ne s’appuie donc pas
sur des préjugés stupides, mais sur une expérience amère lorsqu’il recommande à
ceux qui veulent voir la vie moderne telle qu’elle est, de lire les Protocoles
des Sages de Sion. Il y a, dit-il, un groupe de personnes, disposant d’un
pouvoir absolu, qui « portent en elles une colère haineuse et
profonde . . . une force voulant tout détruire, qui nous hait
pewrsonnellement, hait la création, hait la vie » et veut nous
anéantir totalement. Malheur aux catholiques qui refuseraient cette réalité.
Pour se défendre ils ont le Rosaire
RB tenta d’abord de continuer
dans son métier, mais le conflit entre son travail et sa conscience finit par
être insupportable. Ses forces physiques l’abandonnèrent et il lui fallut un an
pour s’en remettre, car, entre autres, alors qu’il s’apprêtait à quitter la
haute finance, on “sut le convaincre” de ne jamais révéler le nom des sociétés
ou des collaborateurs qu’il connaissait. Il comprit alors pourquoi tant de ses
collègues s’étaient mis à boire ou se droguaient – ou même étaient déjà morts.
Pour lui, a révélation de tout un monde non matériel lui permettait maintenant
de voir que lui-même était « plus » qu’un simple corps charnel. Ce
« plus » l’aida à survivre au total effondrement de son corps.
Malgré ses avancées vers la
lumière, RB ne mentionne, dans cette interview, ni Dieu ni Jésus-Christ ;
mais cette omission même est peut-être elle aussi une grâce de Dieu Lui
permettant d’atteindre des millions d’âmes sur Internet. Car autrement, à la
simple mention du Saint Nom de Dieu, ne s’enfuiraient-elles pas
précipitamment ? Il revient donc aux catholiques qui ont la foi, de prier
pour tant d’ âmes piégées en profondeur par les illusions sans nombre de la vie
moderne.