SOURCE - Sud-Ouest - 15 mars 2011
Le hameau d'Aurenque, situé sur la commune de Castelnau-d'Arbieu, abrite de beaux bâtiments agricoles, de belles demeures anciennes et bourgeoises mais aussi un couvent. Là, vivent quatorze moines de l'ordre des Capucins, une branche franciscaine.
Pour le père François-Marie, ce lieu convient parfaitement à la méditation et à la prière grâce à son calme et son espace. En 2002, l'association, dont le siège est à Morgon (Beaujolais), l'a acheté puis les moines s'y sont installés en 2005 et ont fait tous les travaux de réhabilitation nécessaires autour de la chapelle existante. Aujourd'hui, il sert de centre de formation et reçoit les novices pendant deux mois à un an suivant la vocation.
Cette année, parmi les nouveaux, l'ordre a accueilli un jeune de 18 ans et un professeur d'orgue. L'âge limite est de 35 ans. Le noviciant qui décide de rester dans cette obédience doit faire vœu de pauvreté, de chasteté et d'obéissance suivant les règles fixées par saint François. Il reçoit ensuite la tenue et doit porter la barbe. Par la suite, il va dans d'autres couvents pour étudier la philosophie pendant trois ans, et se consacre également à la théologie.
Une journée de travail
La vie de ces moines est totalement consacrée à Dieu. Ils doivent effectuer six heures par jour de prières à la chapelle, assister à la messe, jour de fête compris. La première prière débute à 1 heure du matin, puis ils se recouchent, à 4 h 40 ils sont debout pour les laudes et à 5 h 15 place à l'oraison et la méditation.
Puis chacun effectue sa tâche quotidienne (cuisine, jardin, secrétariat, lingerie) ou encore est à l'écoute des personnes qui veulent retrouver la quiétude. Cet ordre est différent des traditionalistes. Le père Eugène, moine capucin, dans la lignée de Padre Pio, a décidé de garder les règles de saint François avec une messe en latin et la lecture du bréviaire. Pas d'abstinence perpétuelle : ces religieux suivent les règles de l'évangile, une seule tunique, pas d'argent, une semaine par an de retraite spirituelle et un jour par mois de méditation. Pas de télé, ni de téléphone, ces moines tiennent à vivre une vie contemplative dans cet espace qui leur est réservé.
Pour le père François-Marie, ce lieu convient parfaitement à la méditation et à la prière grâce à son calme et son espace. En 2002, l'association, dont le siège est à Morgon (Beaujolais), l'a acheté puis les moines s'y sont installés en 2005 et ont fait tous les travaux de réhabilitation nécessaires autour de la chapelle existante. Aujourd'hui, il sert de centre de formation et reçoit les novices pendant deux mois à un an suivant la vocation.
Cette année, parmi les nouveaux, l'ordre a accueilli un jeune de 18 ans et un professeur d'orgue. L'âge limite est de 35 ans. Le noviciant qui décide de rester dans cette obédience doit faire vœu de pauvreté, de chasteté et d'obéissance suivant les règles fixées par saint François. Il reçoit ensuite la tenue et doit porter la barbe. Par la suite, il va dans d'autres couvents pour étudier la philosophie pendant trois ans, et se consacre également à la théologie.
Une journée de travail
La vie de ces moines est totalement consacrée à Dieu. Ils doivent effectuer six heures par jour de prières à la chapelle, assister à la messe, jour de fête compris. La première prière débute à 1 heure du matin, puis ils se recouchent, à 4 h 40 ils sont debout pour les laudes et à 5 h 15 place à l'oraison et la méditation.
Puis chacun effectue sa tâche quotidienne (cuisine, jardin, secrétariat, lingerie) ou encore est à l'écoute des personnes qui veulent retrouver la quiétude. Cet ordre est différent des traditionalistes. Le père Eugène, moine capucin, dans la lignée de Padre Pio, a décidé de garder les règles de saint François avec une messe en latin et la lecture du bréviaire. Pas d'abstinence perpétuelle : ces religieux suivent les règles de l'évangile, une seule tunique, pas d'argent, une semaine par an de retraite spirituelle et un jour par mois de méditation. Pas de télé, ni de téléphone, ces moines tiennent à vivre une vie contemplative dans cet espace qui leur est réservé.