L’abbé Patrick de La Rocque est né le 20 novembre 1968. Entré au séminaire d’Écône en 1986, il a été ordonné prêtre, comme son ami et camarade de promotion, l’abbé Régis de Cacqueray – aujourd’hui supérieur du district de France de la Fraternité Saint-Pie X – le 29 juin 1992 par l’évêque brésilien Licinio Rangel de la Fraternité Saint-Jean-Marie-Vianney de Campos.
Il débute son ministère comme professeur de philosophie à l’école Sainte-Marie avant de rejoindre en 1994 le collège Saint-Joseph des Carmes dans l’Aude, aux côtés du même abbé de Cacqueray. Il parfait ensuite ses qualités d’intellectuel en formant les aspirants au sacerdoce au séminaire de Flavigny à partir de 1996. En 2002, il retrouve un ministère paroissial en devenant prieur à Toulouse puis, depuis 2008, à Nantes.
Parallèlement à ses activités pastorales, il assure plusieurs tâches que lui confie le district de France de la Fraternité Saint-Pie X, en particulier la direction de la publication de La Lettre à nos frères prêtres qui tisse des liens avec le clergé français, ou encore, au cours de l’année 2006, la conception du DVD qui permet d’apprendre à célébrer la messe traditionnelle.
D’une très grande productivité, ce théologien considéré par les médias comme le plus souple de l’équipe envoyée à Rome n’hésite pas à se retirer pour réfléchir durablement sur ses sujets. Il est en quelque sorte un contemplatif de la théologie de l’Église. Il a d’ailleurs travaillé à quelques synthèses publiées sous le nom de sa société religieuse comme De l'œcuménisme à l'apostasie silencieuse, vingt-cinq ans de pontificat en 2004, présenté à Rome par Mgr Fellay. Sur le site de La Porte latine, il a également publié, de manière récente, des comptes rendus sur le texte romain relatif aux limbes ou sur l’encyclique Spe Salvi.
Depuis plusieurs années, il a échangé des relations avec des prélats de la Curie sur les sujets épineux qui séparent le Saint-Siège et la Fraternité. Il a ainsi entretenu des contacts suivis avec le cardinal suisse Georges Cottier et le dominicain Charles Morerod, lequel est membre de la délégation romaine pour les discussions doctrinales avec la Fraternité Saint-Pie X.
Le 9 janvier dernier, il est intervenu à Paris dans le cadre du congrès théologique de Si Si No No.
(Merci à JRC)
Il débute son ministère comme professeur de philosophie à l’école Sainte-Marie avant de rejoindre en 1994 le collège Saint-Joseph des Carmes dans l’Aude, aux côtés du même abbé de Cacqueray. Il parfait ensuite ses qualités d’intellectuel en formant les aspirants au sacerdoce au séminaire de Flavigny à partir de 1996. En 2002, il retrouve un ministère paroissial en devenant prieur à Toulouse puis, depuis 2008, à Nantes.
Parallèlement à ses activités pastorales, il assure plusieurs tâches que lui confie le district de France de la Fraternité Saint-Pie X, en particulier la direction de la publication de La Lettre à nos frères prêtres qui tisse des liens avec le clergé français, ou encore, au cours de l’année 2006, la conception du DVD qui permet d’apprendre à célébrer la messe traditionnelle.
D’une très grande productivité, ce théologien considéré par les médias comme le plus souple de l’équipe envoyée à Rome n’hésite pas à se retirer pour réfléchir durablement sur ses sujets. Il est en quelque sorte un contemplatif de la théologie de l’Église. Il a d’ailleurs travaillé à quelques synthèses publiées sous le nom de sa société religieuse comme De l'œcuménisme à l'apostasie silencieuse, vingt-cinq ans de pontificat en 2004, présenté à Rome par Mgr Fellay. Sur le site de La Porte latine, il a également publié, de manière récente, des comptes rendus sur le texte romain relatif aux limbes ou sur l’encyclique Spe Salvi.
Depuis plusieurs années, il a échangé des relations avec des prélats de la Curie sur les sujets épineux qui séparent le Saint-Siège et la Fraternité. Il a ainsi entretenu des contacts suivis avec le cardinal suisse Georges Cottier et le dominicain Charles Morerod, lequel est membre de la délégation romaine pour les discussions doctrinales avec la Fraternité Saint-Pie X.
Le 9 janvier dernier, il est intervenu à Paris dans le cadre du congrès théologique de Si Si No No.
(Merci à JRC)