SOURCE - Ennemond - leforumcatholique.org - 27 mars 2010
Vini Ganimara explique sur Osservatore Vaticano que le recours de l'abbé Michel a été rejeté. La paroisse de Thiberville n'existe plus. L'abbé Michel est désavoué. L'évêque d'Evreux, qui se félicitait du dynamisme que son prédécesseur Gaillot avait insufflé au diocèse, est adoubé et conforté.
Alors, dans ces conditions, que peut faire l'abbé Francis Michel ?
1. Refusant de laisser le père Vivien, le prêtre en baskets et polaire qui souhaitait promouvoir la "syndicalisation" pour un meilleur dialogue social, devenir le curé de ses ouailles, il constate qu'il y a état de nécessité sur ce petit territoire normand et il reste. Bien sûr, il risque de se faire déposséder de ses clochers par l'évêché. Mais il reste, pour les âmes qui ont besoin de lui, qui veulent se sanctifier, non se syndicaliser.
2. Il se rend compte qu'à Rome, l'état de la Curie est tel qu'on préfère promouvoir le modèle Vivien-Gaillot que celui qu'il souhaite défendre, qui est paradoxalement celui que promeut le pape et, tout compte fait, il rejoint la seule société qui pourra le maintenir envers et contre tout, en l'aidant de ses moyens de recours : la Fraternité Saint-Pie X.
3. Obéir, obéir et obéir. Il se soumet à l'autorité. Il laisse Mgr Nourrichard en maître installer le Père Vivien. Lui-même devient aumônier de prison à l'autre bout du département, persécuté par ses confrères qui l'aiment tant et toutes ses ouailles sont orphelines, refusant d'aller vers un curé qui n'a pas la même foi qu'eux. La FSSPX ouvre un prieuré sur le secteur. Les âmes gardent la Foi. Mais l'abbé Michel s'offre pour retraite un exil infernal.
Ah oui ? Il y a un appel possible ? Prions pour que Rome ouvre les yeux sur l'état de l'épiscopat français.
Vini Ganimara explique sur Osservatore Vaticano que le recours de l'abbé Michel a été rejeté. La paroisse de Thiberville n'existe plus. L'abbé Michel est désavoué. L'évêque d'Evreux, qui se félicitait du dynamisme que son prédécesseur Gaillot avait insufflé au diocèse, est adoubé et conforté.
Alors, dans ces conditions, que peut faire l'abbé Francis Michel ?
1. Refusant de laisser le père Vivien, le prêtre en baskets et polaire qui souhaitait promouvoir la "syndicalisation" pour un meilleur dialogue social, devenir le curé de ses ouailles, il constate qu'il y a état de nécessité sur ce petit territoire normand et il reste. Bien sûr, il risque de se faire déposséder de ses clochers par l'évêché. Mais il reste, pour les âmes qui ont besoin de lui, qui veulent se sanctifier, non se syndicaliser.
2. Il se rend compte qu'à Rome, l'état de la Curie est tel qu'on préfère promouvoir le modèle Vivien-Gaillot que celui qu'il souhaite défendre, qui est paradoxalement celui que promeut le pape et, tout compte fait, il rejoint la seule société qui pourra le maintenir envers et contre tout, en l'aidant de ses moyens de recours : la Fraternité Saint-Pie X.
3. Obéir, obéir et obéir. Il se soumet à l'autorité. Il laisse Mgr Nourrichard en maître installer le Père Vivien. Lui-même devient aumônier de prison à l'autre bout du département, persécuté par ses confrères qui l'aiment tant et toutes ses ouailles sont orphelines, refusant d'aller vers un curé qui n'a pas la même foi qu'eux. La FSSPX ouvre un prieuré sur le secteur. Les âmes gardent la Foi. Mais l'abbé Michel s'offre pour retraite un exil infernal.
Ah oui ? Il y a un appel possible ? Prions pour que Rome ouvre les yeux sur l'état de l'épiscopat français.