SOURCE - Ennemond - Fecit - 30 septembre 2012
Les différentes familles de Mgr Lefebvre étaient au Grand Rex samedi puisque, outre ses propres neveux qui constituent sa famille de sang, les missionnaires d’Afrique étaient eux aussi représentés. Les membres de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X – l’œuvre que Mgr Lefebvre a fondée – sont venus en grand nombre :
Il y avait effectivement outre Mgr Fellay et l'abbé Nély, son assistant général, bon nombre de membres de la FSSPX au premier rang desquels, l'abbé de Cacqueray, qui a beaucoup fait pour que ce projet de film aboutisse. Beaucoup de communautés religieuses amies étaient représentées. Il y avait par exemple les supérieurs de Mérigny, du Rafflay des soeurs de la FSSPX, l’assistante générale de Fanjeaux, j’en oublie certainement. Il y avait également des délégations d'autres communautés.
Des membres des communautés Ecclesia Dei, de la FSSP (l'économe du district de France), de l'IBP étaient représentés. L'abbé Barthe était présent, ainsi que plusieurs prêtres religieux (d'ordres missionnaires) et diocésains, notamment de la paroisse voisine de Saint-Eugène-Sainte-Cécile. Il semble bien que beaucoup venaient redécouvrir à l'écran une histoire commune. Le premier prêtre qui est venu me remercier était en pantalon !
Dans son mot final, Mgr Fellay a indiqué que Benoît XVI avait affirmé lors de l'audience de Castel Gandolfo que Mgr Lefebvre était « un grand homme de l'Eglise universelle ». C'était finalement l'objectif de ce film : montrer que ce prélat avait une dimension universelle. Le fondateur de la Fraternité lui-même avait déclaré lors de la fameuse messe de Lille dont des extraits on été diffusés à l'écran :
« Je ne veux point être le chef des traditionalistes, et je ne le suis point. Pourquoi ? Parce que je suis moi aussi, un simple catholique, certes prêtre, certes évêque, mais qui suis dans les mêmes conditions dans lesquelles vous vous trouvez et qui ai les mêmes réactions devant la destruction de l’Église, devant la destruction de notre Foi, devant les ruines qui s’accumulent sous nos yeux.»
Les différentes familles de Mgr Lefebvre étaient au Grand Rex samedi puisque, outre ses propres neveux qui constituent sa famille de sang, les missionnaires d’Afrique étaient eux aussi représentés. Les membres de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X – l’œuvre que Mgr Lefebvre a fondée – sont venus en grand nombre :
Il y avait effectivement outre Mgr Fellay et l'abbé Nély, son assistant général, bon nombre de membres de la FSSPX au premier rang desquels, l'abbé de Cacqueray, qui a beaucoup fait pour que ce projet de film aboutisse. Beaucoup de communautés religieuses amies étaient représentées. Il y avait par exemple les supérieurs de Mérigny, du Rafflay des soeurs de la FSSPX, l’assistante générale de Fanjeaux, j’en oublie certainement. Il y avait également des délégations d'autres communautés.
Des membres des communautés Ecclesia Dei, de la FSSP (l'économe du district de France), de l'IBP étaient représentés. L'abbé Barthe était présent, ainsi que plusieurs prêtres religieux (d'ordres missionnaires) et diocésains, notamment de la paroisse voisine de Saint-Eugène-Sainte-Cécile. Il semble bien que beaucoup venaient redécouvrir à l'écran une histoire commune. Le premier prêtre qui est venu me remercier était en pantalon !
Dans son mot final, Mgr Fellay a indiqué que Benoît XVI avait affirmé lors de l'audience de Castel Gandolfo que Mgr Lefebvre était « un grand homme de l'Eglise universelle ». C'était finalement l'objectif de ce film : montrer que ce prélat avait une dimension universelle. Le fondateur de la Fraternité lui-même avait déclaré lors de la fameuse messe de Lille dont des extraits on été diffusés à l'écran :
« Je ne veux point être le chef des traditionalistes, et je ne le suis point. Pourquoi ? Parce que je suis moi aussi, un simple catholique, certes prêtre, certes évêque, mais qui suis dans les mêmes conditions dans lesquelles vous vous trouvez et qui ai les mêmes réactions devant la destruction de l’Église, devant la destruction de notre Foi, devant les ruines qui s’accumulent sous nos yeux.»