SOURCE - summorum-pontificum.fr - 15 février 2011
Samedi dernier a eu lieu à Rome, en la basilique de « San Nicola in Carcere » la célébration de la messe selon la forme extraordinaire et une conférence d’Alberto Carosa, présentant son dernier livre, au titre très évocateur, qui ne demande même pas de traduction : L’opposizione al Motu Propio Summorum Pontificum.
Ce livre a paru récemment aux éditions Fede & Cultura, maison d’éditions catholique italienne, particulièrement courageuse. Il a été publié sous l’égide d’une collection du Centre culturel Lepanto, dirigée par Fabio Bernabei.
Le livre s’intéresse à l’opposition à l’application d’un texte pontifical, en l’occurrence le motu proprio Summorum Pontificum. Il note que cette opposition ne vient pas principalement des laïcs, dont on parle tant dès que l’on parle de liturgie – n’est-ce pas soi-disant pour le peuple chrétien, pour sa participation et sa comprehénsion que les clercs ont bousculé à fond la liturgie ? – mais des clercs, et singulièrement, des évêques.
Ce livre étudie donc cette opposition qui se fait au nom du Concile et de la défense d’une pastorale qui le plus souvent n’a démontré que ses échecs. Or dès la publication du Motu Proprio, le Pape Benoît XVI dans la lettre aux évêques avait répondu à ces arguments montrant combien ils n’avaient aucun sens et combien la liturgie traditionnelle appartenait au bien commun de l’Église. Malgré tout, l’opposition continue et nombres d’évêques n’hésitent pas à soutenir encore que le motu proprio ne vise que la réintégration des fidèles de Mgr Lefebvre.
Mais la vraie question reste la même : n’est-ce pas à l’intérieur même du Saint-Siège que l’opposition à l’application de ce texte est la mieux organisée, la rendant inefficace ?
Ce livre a paru récemment aux éditions Fede & Cultura, maison d’éditions catholique italienne, particulièrement courageuse. Il a été publié sous l’égide d’une collection du Centre culturel Lepanto, dirigée par Fabio Bernabei.
Le livre s’intéresse à l’opposition à l’application d’un texte pontifical, en l’occurrence le motu proprio Summorum Pontificum. Il note que cette opposition ne vient pas principalement des laïcs, dont on parle tant dès que l’on parle de liturgie – n’est-ce pas soi-disant pour le peuple chrétien, pour sa participation et sa comprehénsion que les clercs ont bousculé à fond la liturgie ? – mais des clercs, et singulièrement, des évêques.
Ce livre étudie donc cette opposition qui se fait au nom du Concile et de la défense d’une pastorale qui le plus souvent n’a démontré que ses échecs. Or dès la publication du Motu Proprio, le Pape Benoît XVI dans la lettre aux évêques avait répondu à ces arguments montrant combien ils n’avaient aucun sens et combien la liturgie traditionnelle appartenait au bien commun de l’Église. Malgré tout, l’opposition continue et nombres d’évêques n’hésitent pas à soutenir encore que le motu proprio ne vise que la réintégration des fidèles de Mgr Lefebvre.
Mais la vraie question reste la même : n’est-ce pas à l’intérieur même du Saint-Siège que l’opposition à l’application de ce texte est la mieux organisée, la rendant inefficace ?