SOURCE - Présent - 22 février 2013
Il s’est beaucoup dit, et un « blog » très
bienveillant de notre confrère Jean-Marie Guénois du Figaro a renforcé
l’idée, que la Fraternité Saint-Pie X était sous le coup d’une sorte
d’ultimatum pour accepter une offre d’accord très favorable de la part
de Rome. Avec une date butoir fixée au 22 ou 23 février. Compte tenu de
l’arrivée d’un nouveau pape qui risque d’être moins intéressé par cette
question, nombreux sont ceux qui, espérant de tout cœur que la
Fraternité trouve une position officielle, en quelque sorte, dans
l’Eglise, l’ont tant espéré qu’ils y ont cru, et même continuent de
croire en un coup de théâtre avant le départ de Benoît XVI le 28
février.
Douche froide à Rome jeudi : le porte-parole du Vatican, le père
Lombardi, a déclaré que cette date butoir n’était que pure hypothèse : «
La question passera sous la responsabilité du nouveau pape », a-t-il
déclaré, sans que l’on sache toutefois s’il disait cela de son propre
chef ou en rendant compte de la volonté de Benoît XVI. Voire – il n’a
jamais paru très favorable à la Fraternité Saint-Pie X – pour décourager
Mgr Fellay, le supérieur de celle-ci, de répondre à la lettre de Mgr Di
Noia avant cette fin de pontificat précipitée.
Ce que l’on sait à l’heure d’écrire à propos de cette réponse éventuelle
de la Fraternité… c’est qu’on ne sait pas si une réponse est partie ou
envisagée.
La FSSPX ne s’est pas non plus encore exprimée sur les propos tenus par
Benoît XVI aux prêtres de Rome sur le Concile Vatican II (lire en page
8).
Pendant ce temps, d’autres rumeurs vont bon train, La Repubblica
(journal de gauche) croyant savoir que la décision de Benoît XVI de
renoncer à sa charge pourrait avoir été renforcée par sa vive
contrariété après avoir pris connaissance des résultats de l’enquête
ultra-secrète menée au sein de la Curie par une commission de trois
cardinaux à la retraite. Le quotidien croit aussi savoir que l’un des
signataires, le cardinal Herranz, aurait évoqué le 9 octobre devant lui
le dossier « le plus scabreux », à savoir « un réseau transversal uni
par l’orientation sexuelle », impliquant des prélats influencés par des
laïcs auxquels ils seraient liés.
Conjectures encore, face auxquelles la seule réponse possible
aujourd’hui est certainement la prière pour Benoît XVI et pour son
successeur : notre carême pour l’Eglise !
Il s’est beaucoup dit, et un « blog » très bienveillant de notre confrère Jean-Marie Guénois du Figaro a renforcé l’idée, que la Fraternité Saint-Pie X était sous le coup d’une sorte d’ultimatum pour accepter une offre d’accord très favorable de la part de Rome. Avec une date butoir fixée au 22 ou 23 février. Compte tenu de l’arrivée d’un nouveau pape qui risque d’être moins intéressé par cette question, nombreux sont ceux qui, espérant de tout cœur que la Fraternité trouve une position officielle, en quelque sorte, dans l’Eglise, l’ont tant espéré qu’ils y ont cru, et même continuent de croire en un coup de théâtre avant le départ de Benoît XVI le 28 février.
Douche froide à Rome jeudi : le porte-parole du Vatican, le père Lombardi, a déclaré que cette date butoir n’était que pure hypothèse : « La question passera sous la responsabilité du nouveau pape », a-t-il déclaré, sans que l’on sache toutefois s’il disait cela de son propre chef ou en rendant compte de la volonté de Benoît XVI. Voire – il n’a jamais paru très favorable à la Fraternité Saint-Pie X – pour décourager Mgr Fellay, le supérieur de celle-ci, de répondre à la lettre de Mgr Di Noia avant cette fin de pontificat précipitée.
Ce que l’on sait à l’heure d’écrire à propos de cette réponse éventuelle de la Fraternité… c’est qu’on ne sait pas si une réponse est partie ou envisagée.
La FSSPX ne s’est pas non plus encore exprimée sur les propos tenus par Benoît XVI aux prêtres de Rome sur le Concile Vatican II (lire en page 8).
Pendant ce temps, d’autres rumeurs vont bon train, La Repubblica (journal de gauche) croyant savoir que la décision de Benoît XVI de renoncer à sa charge pourrait avoir été renforcée par sa vive contrariété après avoir pris connaissance des résultats de l’enquête ultra-secrète menée au sein de la Curie par une commission de trois cardinaux à la retraite. Le quotidien croit aussi savoir que l’un des signataires, le cardinal Herranz, aurait évoqué le 9 octobre devant lui le dossier « le plus scabreux », à savoir « un réseau transversal uni par l’orientation sexuelle », impliquant des prélats influencés par des laïcs auxquels ils seraient liés.
Conjectures encore, face auxquelles la seule réponse possible aujourd’hui est certainement la prière pour Benoît XVI et pour son successeur : notre carême pour l’Eglise !