SOURCE - Abbé Delagneau, fsspx - L'Acampado - juillet-aout 2018
Il n’est pas rare, depuis quelques années, d’entendre des retraitants nous dire, à propos des messes «Ecclesia Dei» ou «indult», «Mais c’est la même messe!»
Ce à quoi je réponds d’abord : «Mais qu’avez-vous demandé à l’Église, le jour de votre baptême? La foi! C’est donc que la foi est première. La messe traditionnelle est l’expression de notre foi catholique, elle nous est donnée pour nourrir notre foi. Mais nous devons examiner les circonstances dans lesquelles elle nous est offerte. Est-ce qu’elles nourrissent ou mettent en danger notre foi?
Au Concile, tous les évêques modernistes célébraient la messe Saint-Pie V, et pourtant cela ne les a pas empêchés de compromettre la foi de leurs fidèles par leurs enseignements!
Au moment de la Révolution française, les bons catholiques préféraient assister de temps en temps, et au prix de leur vie, à des messes célébrées dans des granges, pourtant les prêtres jureurs célébraient la messe Saint-Pie V dans les églises. Mais ils comprenaient qu’il y avait un problème doctrinal grave, et ils avaient le courage d’agir en conséquence pour l’honneur de Dieu et le bien de leurs âmes.
Aujourd’hui, ce n’est pas seulement Mgr Lefebvre qui affirme que les principes de la Révolution française sont entrés dans le Concile et les réformes conciliaires, c’est aussi l’enseignement des autorités de l’Église. Citons le cardinal Ratzinger qui fut théologien au Concile :
«Gaudium et spes - qui, selon les mots du pape Benoît XVI est la clé de la compréhension du Concile - représente une tentative de réconciliation officielle de l’Église avec le monde tel qu’il était devenu depuis 1789» [Principes de la théologie catholique].
Pendant une vingtaine d’années après le Concile, les prêtres et les fidèles qui voulaient garder et transmettre la foi dans sa pureté, se sont écartés de l’esprit du Concile et des réformes qui ont suivi, en particulier de la messe dite de Paul VI.
Régnait alors une certaine unité dans la Tradition, et beaucoup se formaient pour comprendre toute cette révolution dans l’Église. Les condamnations véhémentes des autorités de l’Église et des médias nous protégeaient du monde et de son esprit libéral.
Il faut dire que passer de la messe traditionnelle à la messe de Paul VI, avec tous ses excès, demandait de faire un plongeon dans un univers des plus perturbants! Pratiquement personne ne s’y risquait, car on savait que l’on mettait son âme en grave danger. Par contre, pour des raisons diverses, des âmes généreuses rejoignaient la Tradition qui voyait ses rangs grossir ainsi que les vocations.
Puis, en 1988 - il y a déjà trente ans! - eurent lieu les sacres des évêques de la Fraternité. C’est alors que les autorités romaines ont su agir avec une habileté consommée. Elles rédigèrent le document «Ecclesia Dei afflicta» qui, d’une part condamnait Mgr Lefebvre et ceux qui le suivaient, et qui, d’autre part, donnait naissance aux communautés «Ecclesia Dei». Ainsi, leur existence, dès son origine, fut pour contrer l’œuvre de Mgr Lefebvre, et elle repose sur l’acceptation du motif de condamnation de l’Évêque fidèle: «La tradition vivante», c’est-à-dire l’évolution de la doctrine de l’Église en s’inspirant de l’esprit du monde. Autrement dit, on vous concède la messe Saint-Pie V dans des églises, mais ne critiquez publiquement ni le Concile, ni la nouvelle messe; c’est l’enseignement du magistère d’aujourd’hui!
Et pour bien les fixer dans cet esprit, le pape Benoît XVI a trouvé deux expressions qui empêchent tout retour en arrière :
Mgr Lefebvre avait vu juste quand il disait : «Le but de ce mouvement, c’est la récupération des traditionalistes pour les soumettre au Concile».
Notons cependant qu’un certain nombre de catholiques, conscients de la crise de l’Église mais craintifs, pouvaient enfin avoir la messe traditionnelle sans s’inquiéter d’être désobéissants, d’être schismatiques...
Cette attitude fut de tous les temps puisque saint Jean nous dit déjà, à propos des parents de l’aveugle-né, qu’ils craignaient d’être exclus de la synagogue s’ils disaient la vérité [Jn 9, 18-23]. On peut regretter cette attitude et espérer qu’un certain nombre, en prenant conscience de la racine du mal qui ronge l’Église, nous rejoindront.
Mais le plus grave est du côté de ceux qui ont tout reçu, dans nos écoles, dans nos Prieurés, et qui, pour des arguments humains, grossissent les rangs des communautés Ecclesia Dei.
Leurs arguments de fond, nous les connaissons: c’est le rappel des tenues vestimentaires qui les indispose; c’est le fait de vouloir être dans une église, comme tout le monde; c’est parce que tel prêtre est plus sympathique pour les jeunes; c’est parce qu’on organise des dîners, des soirées avec des fidèles Ecclesia Dei; c’est parce qu’on se lasse de la crise de l’Église...
En fait, ce sont des arguments humains, mondains!
Alors, pour se rassurer et se justifier, on ajoute «C’est la même messe!» sous-entendu, le même combat (!) Pendant ce temps-là, la crise continue de battre son plein, l’esprit du monde continue de pénétrer dans la barque de l’Église; après la doctrine, c’est la morale qui est atteinte. Et, bien sûr, on en profite puisque cela va dans le sens du péché originel, des passions désordonnées.
Tous les papes du Concile et de la nouvelle messe vont être canonisés! C’est le pape Jean-Paul II, puis le pape Benoît XVI qui ont commencé le processus en béatifiant le pape Jean XXIII en 2010 et Jean-Paul II en 2011. Le pape François poursuivra dans le même sens en canonisant tous ces papes du Concile, y compris Paul VI. Ainsi, c’est une nouvelle référence qui est donnée aux catholiques et aux communautés Ecclesia Dei.
Comment nos anciens fidèles peuvent-ils, avec les prêtres Ecclesia Dei, prononcer les noms de saint Jean XXIII, de saint Jean-Paul II, de saint Paul VI, et donc les prendre comme références doctrinales? C’est la foi qui est en cause!
Même si, dans leur for interne, certains prêtres ou fidèles refusent ces canonisations, ou au moins les doctrines mortifères de ces «nouveaux saints», il n’empêche, qu’en faisant partie de ces mouvements, ils cautionnent ces erreurs graves, et peu à peu les adoptent.
Où est la noblesse de cœur des Vendéens qui, pour l’honneur de Dieu et le bien de l’Église refusaient, au prix de grands sacrifices, toute concession?
L’intérêt propre prend aujourd’hui la place du bien commun. Quel malheur!
La mission de la Fraternité regarde le bien de toute l’Église et non pas des avantages personnels. C’est pourquoi, nous prions et nous travaillons pour que les autorités prennent conscience de la racine du mal qui mine l’Église de fond en comble. Quand ces autorités mettront la cognée à la racine du mal, nous serons à leurs côtés pour cette œuvre de rechristianisation. (Pas d’accord pratique sans au préalable un accord sur la doctrine!)
Je reconnais que cela demande une noblesse d’âme, car c’est travailler d’abord pour le bien commun de l’Église, avant de chercher son bien propre.
Notons encore que, ne pas dénoncer les erreurs actuelles, c’est les laisser rentrer peu à peu dans les esprits, et on en arrive à un sentimentalisme religieux, où chacun a sa manière de voir et de faire. Ce n’est plus l’esprit catholique, et la foi et la morale sont en grand danger!
Quelques mots suffisent à ébranler chez certains les convictions d’hier: «il ne faut pas exagérer», «soyons charitables», «il ne faut pas être intégriste», «le bon Dieu est miséricordieux», «tout le monde ne peut pas se damner», «c’est de l’orgueil de vouloir avoir raison contre tout le monde», «moi je garde ma foi, mais sans être toujours dans la critique ...»
Rester ferme et fidèle (…) c’est continuer son devoir de prêcher et de vivre de la doctrine et de la morale de toujours; c’est étudier et éclairer les âmes de bonne volonté sur les erreurs actuelles; c’est prier et faire pénitence pour que cesse l’aveuglement des esprits dans les autorités.
C’est uniquement l’amour de Notre-Seigneur et des âmes qui doit nous animer!
Nous sommes dans un combat surnaturel, et nous voulons œuvrer pour la restauration de la vérité et de la grâce dans les âmes, dans les sociétés, par les moyens surnaturels. (…)
Grâce à Dieu, nous avons de bonnes familles, de bons retraitants qui ont compris toutes ces choses, qui veillent et portent beaucoup de bons fruits. Ce texte ne peut que les encourager dans la persévérance.
Grâce à Dieu, nous avons une vague de conversions chez des jeunes et des moins jeunes qui apportent un sang nouveau à notre combat. Ils ont souffert de la déchristianisation, et, par des lectures, par des retraites, ils découvrent la richesse spirituelle que nous transmet l’Église catholique dans sa Tradition. Alors, ils s’engagent dans une bonne vie chrétienne, fervente, zélée et nourrie par la lecture de bons auteurs, dans tous les domaines de la vie chrétienne.
Gardons confiance, mais ne relâchons pas nos efforts, par amour de Notre-Seigneur. La crise de l’Église est loin d’être terminée!
Continuons de nous confier à Notre-Dame de Fatima, d’unir nos prières et nos sacrifices au saint sacrifice de la messe.
Vive le Sacré-Cœur de Jésus! Vive le Cœur Immaculé de Marie!
Il n’est pas rare, depuis quelques années, d’entendre des retraitants nous dire, à propos des messes «Ecclesia Dei» ou «indult», «Mais c’est la même messe!»
Ce à quoi je réponds d’abord : «Mais qu’avez-vous demandé à l’Église, le jour de votre baptême? La foi! C’est donc que la foi est première. La messe traditionnelle est l’expression de notre foi catholique, elle nous est donnée pour nourrir notre foi. Mais nous devons examiner les circonstances dans lesquelles elle nous est offerte. Est-ce qu’elles nourrissent ou mettent en danger notre foi?
Au Concile, tous les évêques modernistes célébraient la messe Saint-Pie V, et pourtant cela ne les a pas empêchés de compromettre la foi de leurs fidèles par leurs enseignements!
Au moment de la Révolution française, les bons catholiques préféraient assister de temps en temps, et au prix de leur vie, à des messes célébrées dans des granges, pourtant les prêtres jureurs célébraient la messe Saint-Pie V dans les églises. Mais ils comprenaient qu’il y avait un problème doctrinal grave, et ils avaient le courage d’agir en conséquence pour l’honneur de Dieu et le bien de leurs âmes.
Aujourd’hui, ce n’est pas seulement Mgr Lefebvre qui affirme que les principes de la Révolution française sont entrés dans le Concile et les réformes conciliaires, c’est aussi l’enseignement des autorités de l’Église. Citons le cardinal Ratzinger qui fut théologien au Concile :
«Gaudium et spes - qui, selon les mots du pape Benoît XVI est la clé de la compréhension du Concile - représente une tentative de réconciliation officielle de l’Église avec le monde tel qu’il était devenu depuis 1789» [Principes de la théologie catholique].
Pendant une vingtaine d’années après le Concile, les prêtres et les fidèles qui voulaient garder et transmettre la foi dans sa pureté, se sont écartés de l’esprit du Concile et des réformes qui ont suivi, en particulier de la messe dite de Paul VI.
Régnait alors une certaine unité dans la Tradition, et beaucoup se formaient pour comprendre toute cette révolution dans l’Église. Les condamnations véhémentes des autorités de l’Église et des médias nous protégeaient du monde et de son esprit libéral.
Il faut dire que passer de la messe traditionnelle à la messe de Paul VI, avec tous ses excès, demandait de faire un plongeon dans un univers des plus perturbants! Pratiquement personne ne s’y risquait, car on savait que l’on mettait son âme en grave danger. Par contre, pour des raisons diverses, des âmes généreuses rejoignaient la Tradition qui voyait ses rangs grossir ainsi que les vocations.
Puis, en 1988 - il y a déjà trente ans! - eurent lieu les sacres des évêques de la Fraternité. C’est alors que les autorités romaines ont su agir avec une habileté consommée. Elles rédigèrent le document «Ecclesia Dei afflicta» qui, d’une part condamnait Mgr Lefebvre et ceux qui le suivaient, et qui, d’autre part, donnait naissance aux communautés «Ecclesia Dei». Ainsi, leur existence, dès son origine, fut pour contrer l’œuvre de Mgr Lefebvre, et elle repose sur l’acceptation du motif de condamnation de l’Évêque fidèle: «La tradition vivante», c’est-à-dire l’évolution de la doctrine de l’Église en s’inspirant de l’esprit du monde. Autrement dit, on vous concède la messe Saint-Pie V dans des églises, mais ne critiquez publiquement ni le Concile, ni la nouvelle messe; c’est l’enseignement du magistère d’aujourd’hui!
Et pour bien les fixer dans cet esprit, le pape Benoît XVI a trouvé deux expressions qui empêchent tout retour en arrière :
- Pour la messe, on parlera de «rite ordinaire et de rite extra ordinaire», c’est-à-dire que c’est le même rite, la même doctrine; la messe de Paul VI est légitime et bonne, elle ne fait pas perdre la foi!
- Pour le Concile et les réformes, il emploiera l’expression «l’herméneutique de la continuité». Et donc, l’œcuménisme actuel, la liberté religieuse, sont tout à fait catholiques et traditionnels.
Mgr Lefebvre avait vu juste quand il disait : «Le but de ce mouvement, c’est la récupération des traditionalistes pour les soumettre au Concile».
Notons cependant qu’un certain nombre de catholiques, conscients de la crise de l’Église mais craintifs, pouvaient enfin avoir la messe traditionnelle sans s’inquiéter d’être désobéissants, d’être schismatiques...
Cette attitude fut de tous les temps puisque saint Jean nous dit déjà, à propos des parents de l’aveugle-né, qu’ils craignaient d’être exclus de la synagogue s’ils disaient la vérité [Jn 9, 18-23]. On peut regretter cette attitude et espérer qu’un certain nombre, en prenant conscience de la racine du mal qui ronge l’Église, nous rejoindront.
Mais le plus grave est du côté de ceux qui ont tout reçu, dans nos écoles, dans nos Prieurés, et qui, pour des arguments humains, grossissent les rangs des communautés Ecclesia Dei.
Leurs arguments de fond, nous les connaissons: c’est le rappel des tenues vestimentaires qui les indispose; c’est le fait de vouloir être dans une église, comme tout le monde; c’est parce que tel prêtre est plus sympathique pour les jeunes; c’est parce qu’on organise des dîners, des soirées avec des fidèles Ecclesia Dei; c’est parce qu’on se lasse de la crise de l’Église...
En fait, ce sont des arguments humains, mondains!
Alors, pour se rassurer et se justifier, on ajoute «C’est la même messe!» sous-entendu, le même combat (!) Pendant ce temps-là, la crise continue de battre son plein, l’esprit du monde continue de pénétrer dans la barque de l’Église; après la doctrine, c’est la morale qui est atteinte. Et, bien sûr, on en profite puisque cela va dans le sens du péché originel, des passions désordonnées.
Tous les papes du Concile et de la nouvelle messe vont être canonisés! C’est le pape Jean-Paul II, puis le pape Benoît XVI qui ont commencé le processus en béatifiant le pape Jean XXIII en 2010 et Jean-Paul II en 2011. Le pape François poursuivra dans le même sens en canonisant tous ces papes du Concile, y compris Paul VI. Ainsi, c’est une nouvelle référence qui est donnée aux catholiques et aux communautés Ecclesia Dei.
Comment nos anciens fidèles peuvent-ils, avec les prêtres Ecclesia Dei, prononcer les noms de saint Jean XXIII, de saint Jean-Paul II, de saint Paul VI, et donc les prendre comme références doctrinales? C’est la foi qui est en cause!
Même si, dans leur for interne, certains prêtres ou fidèles refusent ces canonisations, ou au moins les doctrines mortifères de ces «nouveaux saints», il n’empêche, qu’en faisant partie de ces mouvements, ils cautionnent ces erreurs graves, et peu à peu les adoptent.
Où est la noblesse de cœur des Vendéens qui, pour l’honneur de Dieu et le bien de l’Église refusaient, au prix de grands sacrifices, toute concession?
L’intérêt propre prend aujourd’hui la place du bien commun. Quel malheur!
La mission de la Fraternité regarde le bien de toute l’Église et non pas des avantages personnels. C’est pourquoi, nous prions et nous travaillons pour que les autorités prennent conscience de la racine du mal qui mine l’Église de fond en comble. Quand ces autorités mettront la cognée à la racine du mal, nous serons à leurs côtés pour cette œuvre de rechristianisation. (Pas d’accord pratique sans au préalable un accord sur la doctrine!)
Je reconnais que cela demande une noblesse d’âme, car c’est travailler d’abord pour le bien commun de l’Église, avant de chercher son bien propre.
Notons encore que, ne pas dénoncer les erreurs actuelles, c’est les laisser rentrer peu à peu dans les esprits, et on en arrive à un sentimentalisme religieux, où chacun a sa manière de voir et de faire. Ce n’est plus l’esprit catholique, et la foi et la morale sont en grand danger!
Quelques mots suffisent à ébranler chez certains les convictions d’hier: «il ne faut pas exagérer», «soyons charitables», «il ne faut pas être intégriste», «le bon Dieu est miséricordieux», «tout le monde ne peut pas se damner», «c’est de l’orgueil de vouloir avoir raison contre tout le monde», «moi je garde ma foi, mais sans être toujours dans la critique ...»
Rester ferme et fidèle (…) c’est continuer son devoir de prêcher et de vivre de la doctrine et de la morale de toujours; c’est étudier et éclairer les âmes de bonne volonté sur les erreurs actuelles; c’est prier et faire pénitence pour que cesse l’aveuglement des esprits dans les autorités.
C’est uniquement l’amour de Notre-Seigneur et des âmes qui doit nous animer!
Nous sommes dans un combat surnaturel, et nous voulons œuvrer pour la restauration de la vérité et de la grâce dans les âmes, dans les sociétés, par les moyens surnaturels. (…)
Grâce à Dieu, nous avons de bonnes familles, de bons retraitants qui ont compris toutes ces choses, qui veillent et portent beaucoup de bons fruits. Ce texte ne peut que les encourager dans la persévérance.
Grâce à Dieu, nous avons une vague de conversions chez des jeunes et des moins jeunes qui apportent un sang nouveau à notre combat. Ils ont souffert de la déchristianisation, et, par des lectures, par des retraites, ils découvrent la richesse spirituelle que nous transmet l’Église catholique dans sa Tradition. Alors, ils s’engagent dans une bonne vie chrétienne, fervente, zélée et nourrie par la lecture de bons auteurs, dans tous les domaines de la vie chrétienne.
Gardons confiance, mais ne relâchons pas nos efforts, par amour de Notre-Seigneur. La crise de l’Église est loin d’être terminée!
Continuons de nous confier à Notre-Dame de Fatima, d’unir nos prières et nos sacrifices au saint sacrifice de la messe.
Vive le Sacré-Cœur de Jésus! Vive le Cœur Immaculé de Marie!