SOURCE - Mgr Williamson - Initiative St Marcel - 21 novembre 2015
Avec le NOM, des miracles de Dieu ?
Avec le NOM, des miracles de Dieu ?
L’évidence le dit ? Ça n’a pu avoir lieu !
« Les faits sont des réalités obstinées » est une citation célèbre du second Président américain, John Adams (1735–1826), « et peu importe nos aspirations, nos inclinations ou le dictat de nos passions, ils ne peuvent altérer les états de fait et les évidences ». À propos du Nouvel Ordre de la Messe (NOM) imposé à toute l’Église de rite latin par Paul VI en 1969, il y a des faits obstinés aptes à perturber les « aspirations et les inclinations » des fidèles attachés à la Tradition catholique. D’abord que ces « Commentaires » présentent quelques-uns de ces faits ; ensuite voyons comment ils peuvent s’expliquer malgré le rôle désastreux qu’a joué le NOM ces quarante-six dernières années en aidant les Catholiques à perdre la Foi ; et enfin, délibérons sur les conclusions les plus sages qu’a besoin de tirer un Catholique. D’abord, quelques faits :
Le 18 août 1996, à l’église St Mary’s dans le centre de Buenos Aires, en Argentine, l’Abbé Alejandro Pezet achevait de distribuer la Communion (d’une nouvelle Messe, pour certain) lorsqu’une femme lui dit qu’une hostie traînait par terre à la sortie de l’église. Un fidèle ayant reçu la Communion dans la main l’avait sans doute laissé tomber en sortant de l’église et abandonnée, comme n’étant plus propre à être consommée. L’Abbé Pezet la ramassa, la mit correctement dans un vase d’eau et la plaça dans le Tabernacle où elle devait normalement se dissoudre en quelques jours et permettre que l’on en disposât comme il faut. Or, lorsqu’il ouvrit le Tabernacle le 26 août, quelle ne fut pas sa surprise de constater que l’hostie s’était transmuée en une substance ensanglantée. Des photographies prises sur l’ordre de Mgr Bergoglio onze jours plus tard montrèrent que ses dimensions s’étaient considérablement accrues. Durant trois années, elle fut gardée dans le Tabernacle dans le plus grand secret, mais en 1999, Mgr Bergoglio (le futur Pape François) décida d’effectuer une analyse scientifique. Le 15 octobre 1999, en présence de témoins, il donna la permission au Dr Ricardo Castañon, neuro-psychiâtre et physiologiste, approuvé par Rome, de prendre un échantillon pour faire des tests.
Dr Castañon apporta d’abord l’échantillon dans un laboratoire médico-légal de San Francisco, lequel reconnut de l’ADN humain. Un certain Dr Robert Lawrence y repéra des globules blancs. Un autre, Dr Ardonidoli en Italie, pensa qu’il s’agissait probablement de tissu de cœur humain. Un professeur australien, le Prof. John Walker, y reconnut des tissus musculaires avec des globules blancs intacts. Pour dissiper tout doute possible, Dr Castañon se tourna vers un cardiologue et pathologiste médico-légal renommé de la Columbia University de New York, le Dr Federico Zugibe, sans l’informer de l’origine de l’échantillon.
En regardant dans son microscope, le Dr Zugibe aurait dit : « Je peux vous dire exactement ce que c’est. Il s’agit d’une partie du muscle que l’on trouve dans le mur du ventricule gauche du cœur qui le fait battre et donne la vie au corps. Entremêlés dans le tissu se trouvent des globules blancs, ce qui me dit deux choses : d’abord le cœur était vivant au moment où l’échantillon fut pris, car les globules blancs meurent à l’extérieur d’un organisme vivant ; et ensuite les globules blancs allant au secours d’une blessure, ce cœur souffrait. C’est le genre de chose que je constate chez les patients qui ont été battus au niveau de la poitrine ». Lorsqu’on a demandé au Docteur pour combien de temps ces globules auraient pu demeurer en vie s’ils étaient provenus d’un échantillon conservé dans de l’eau, le Dr Zugibe répondit qu’au bout de quelques minutes ils auraient cessé d’exister.
Lorsqu’en juin 1976, Mgr Lefebvre était sur le point de braver la désapprobation romaine pour ordonner le premier lot important de prêtres de la FSSPX, un officiel romain vint lui promettre la fin de tous ses ennuis avec Rome si seulement il voulait célébrer un seul NOM. Selon les principes et pour des raisons doctrinales, il refusa. Alors comment le Bon Dieu a-t-Il pu faire des miracles eucharistiques avec et pour cette nouvelle Messe ? Lisez ici la semaine prochaine une proposition de réponse.
Kyrie eleison.