SOURCE - Abbé Philippe Laguérie - IBP - 9 octobre 2012
La situation juridique de l’autorité dans notre Institut, sans être réglée à ce jour, est en bonne voie. Remise par le Supérieur général de l’Institut, M. l’abbé Laguérie, (confirmé lui même en sa charge par trois courriers romains (lettres du 23 août, du 3 septembre et du 29 septembre) devant la Commission Ecclésia Dei, la cause de l’IBP est entre bonnes mains.
Ainsi, le décret romain du 18 juillet 2012 rescindant les élections de l’abbé Laguérie (3 juillet) et celle de l’abbé Perrel (5 juillet) est en passe d’être admis à présent par l’ensemble de l’Institut.
Dès lors, les dernières gesticulations sont éphémères. Elles apparaissent comme les soubresauts d’une agitation suicidaire refusant la voie du droit et de la soumission au Saint Siège, inaugurée au printemps dernier : injures publiques sur Disputationes Theologicae, ignorance volontaire ou mépris affiché du décret et des lettres de Rome, contestation des supérieurs, des fondateurs, des statuts même qui réservent au conseil général de l’Institut les relations avec Rome, mails collectifs incessants aux confrères, contestations des élections primaires de janvier puis de celles du chapitre, suspicions, diffamations, calomnies : autant de moyens qui ne peuvent prétendre servir une juste cause. Car, agiter la théorie fantasmatique d’une trahison programmée des supérieurs sur le droit liturgique propre, afin de persuader chaque électeur de ne pas voter pour eux, mais pour le candidat auto désigné, relève de manipulation. Ultimes épisodes d’une campagne électorale qui a entravé la liberté des élections du chapitre et entrave aujourd’hui encore la libre tenue des élections demandées par Rome.
C’est de Rome que viendra la clarification et sûrement pas de Sa contestation. Il n’y a pas à choisir son camp. Le prêtre est l’homme du Christ et par conséquent de l’Eglise.
Tout autre voie finirait dans la révolte ou le sedevacantisme.
Et puis « La charité du Christ nous presse » dit l’Apôtre. Divisions, rancoeurs, ambitions, contestations, frondes et discordes entre frères d’hier ne sont pas de Dieu. Il faut y mettre fin au plus vite en se confiant résolument en l’Eglise, Mère et Maîtresse de toutes les autres, qui « préside à la Charité » (Saint Irénée).
Poitiers, le 9 octobre 2012.
Abbé Philippe Laguérie,
Supérieur Général de l’I.B.P
La situation juridique de l’autorité dans notre Institut, sans être réglée à ce jour, est en bonne voie. Remise par le Supérieur général de l’Institut, M. l’abbé Laguérie, (confirmé lui même en sa charge par trois courriers romains (lettres du 23 août, du 3 septembre et du 29 septembre) devant la Commission Ecclésia Dei, la cause de l’IBP est entre bonnes mains.
Ainsi, le décret romain du 18 juillet 2012 rescindant les élections de l’abbé Laguérie (3 juillet) et celle de l’abbé Perrel (5 juillet) est en passe d’être admis à présent par l’ensemble de l’Institut.
Dès lors, les dernières gesticulations sont éphémères. Elles apparaissent comme les soubresauts d’une agitation suicidaire refusant la voie du droit et de la soumission au Saint Siège, inaugurée au printemps dernier : injures publiques sur Disputationes Theologicae, ignorance volontaire ou mépris affiché du décret et des lettres de Rome, contestation des supérieurs, des fondateurs, des statuts même qui réservent au conseil général de l’Institut les relations avec Rome, mails collectifs incessants aux confrères, contestations des élections primaires de janvier puis de celles du chapitre, suspicions, diffamations, calomnies : autant de moyens qui ne peuvent prétendre servir une juste cause. Car, agiter la théorie fantasmatique d’une trahison programmée des supérieurs sur le droit liturgique propre, afin de persuader chaque électeur de ne pas voter pour eux, mais pour le candidat auto désigné, relève de manipulation. Ultimes épisodes d’une campagne électorale qui a entravé la liberté des élections du chapitre et entrave aujourd’hui encore la libre tenue des élections demandées par Rome.
C’est de Rome que viendra la clarification et sûrement pas de Sa contestation. Il n’y a pas à choisir son camp. Le prêtre est l’homme du Christ et par conséquent de l’Eglise.
Tout autre voie finirait dans la révolte ou le sedevacantisme.
Et puis « La charité du Christ nous presse » dit l’Apôtre. Divisions, rancoeurs, ambitions, contestations, frondes et discordes entre frères d’hier ne sont pas de Dieu. Il faut y mettre fin au plus vite en se confiant résolument en l’Eglise, Mère et Maîtresse de toutes les autres, qui « préside à la Charité » (Saint Irénée).
Poitiers, le 9 octobre 2012.
Abbé Philippe Laguérie,
Supérieur Général de l’I.B.P