Décidément, l’Institut du Bon Pasteur à Rome sait faire parler de lui. Après le lancement d’un site Internet renouvelé, après avoir reçu maintes personnalités, la maison romaine de ce jeune institut ne cesse de démontrer par les nouvelles qu’elle diffuse l’intérêt de cette présence romaine.
On le sait, les séminaristes du premier cycle reçoivent leur formation en France, au séminaire de Courtalain et ceux du second cycle à Rome même, se partageant entre les cours dans les Universités pontificales (3 heures/jour) et ceux qui sont propres à l’Institut (3 heures/jour).
Ceux qui se rendent souvent à Rome, ou qui y habitent, savent combien Rome, même aujourd’hui en temps de crise et même si les loups évoqués par le Saint-Père sont toujours bien présents, conserve un parfum particulier. C’est un beau pari qu’a fait l’IBP de former ses futurs prêtres dans la Ville éternelle et on se demande vraiment pourquoi cette ouverture n’est pas mieux saluée par les épiscopes français. À moins… À moins que le fameux complexe anti-romain, naguère dénoncé par le cardinal de Lubac, imprègne encore les mentalités françaises.
Toujours est-il que l’IBP-Roma, profitant de sa situation au cœur de la catholicité, reçoit la visite de personnalités. L’une des dernières d’entre elles est Mgr Jacques Masson dont j’ai déjà parlé ici. Mgr Masson fut le premier directeur du séminaire d’Ecône, avant qu’il ne se sépare de Mgr Lefebvre et tente de fonder à Rome ce que l’IBP réussit aujourd’hui. Il n’avait pas laissé que de bons souvenirs parmi ceux qui restèrent ou qui restent encore fidèles à Mgr Lefebvre. Toujours est-il que des obstacles ont été franchis puisque Mgr Masson n’hésite pas aujourd’hui à visiter l’IBP et qu’il n’hésite pas non plus à déclarer que « Monseigneur sait maintenant du haut du Ciel, combien j’ai continué à l’aider par la suite ». Une petite déclaration qui montre combien les choses évoluent comme le montrent aussi les souvenirs (voir ICI) de Mgr Masson.
Le 14 décembre dernier, celui-ci rendait donc visite pour la deuxième fois à l’IBP pour parler des prophètes annonçant la naissance et la divinité du Christ. Visiblement, le programme prévoit qu’il reviendra.
PS : à ceux qui trouveraient que je parle décidément beaucoup de l’IBP ces derniers temps, je leur dirai d’abord qu’ils ont raison. Et qu’ensuite il s’agit là du résultat d’un effort de communication de la part de l’IBP. Je suis disposé à parler des différents séminaires et communautés traditionnels aussi souvent, à condition d’être informé. Comme ce modeste blog commence à faire parler de lui, tout le monde y trouverait peut-être son compte.
On le sait, les séminaristes du premier cycle reçoivent leur formation en France, au séminaire de Courtalain et ceux du second cycle à Rome même, se partageant entre les cours dans les Universités pontificales (3 heures/jour) et ceux qui sont propres à l’Institut (3 heures/jour).
Ceux qui se rendent souvent à Rome, ou qui y habitent, savent combien Rome, même aujourd’hui en temps de crise et même si les loups évoqués par le Saint-Père sont toujours bien présents, conserve un parfum particulier. C’est un beau pari qu’a fait l’IBP de former ses futurs prêtres dans la Ville éternelle et on se demande vraiment pourquoi cette ouverture n’est pas mieux saluée par les épiscopes français. À moins… À moins que le fameux complexe anti-romain, naguère dénoncé par le cardinal de Lubac, imprègne encore les mentalités françaises.
Toujours est-il que l’IBP-Roma, profitant de sa situation au cœur de la catholicité, reçoit la visite de personnalités. L’une des dernières d’entre elles est Mgr Jacques Masson dont j’ai déjà parlé ici. Mgr Masson fut le premier directeur du séminaire d’Ecône, avant qu’il ne se sépare de Mgr Lefebvre et tente de fonder à Rome ce que l’IBP réussit aujourd’hui. Il n’avait pas laissé que de bons souvenirs parmi ceux qui restèrent ou qui restent encore fidèles à Mgr Lefebvre. Toujours est-il que des obstacles ont été franchis puisque Mgr Masson n’hésite pas aujourd’hui à visiter l’IBP et qu’il n’hésite pas non plus à déclarer que « Monseigneur sait maintenant du haut du Ciel, combien j’ai continué à l’aider par la suite ». Une petite déclaration qui montre combien les choses évoluent comme le montrent aussi les souvenirs (voir ICI) de Mgr Masson.
Le 14 décembre dernier, celui-ci rendait donc visite pour la deuxième fois à l’IBP pour parler des prophètes annonçant la naissance et la divinité du Christ. Visiblement, le programme prévoit qu’il reviendra.
PS : à ceux qui trouveraient que je parle décidément beaucoup de l’IBP ces derniers temps, je leur dirai d’abord qu’ils ont raison. Et qu’ensuite il s’agit là du résultat d’un effort de communication de la part de l’IBP. Je suis disposé à parler des différents séminaires et communautés traditionnels aussi souvent, à condition d’être informé. Comme ce modeste blog commence à faire parler de lui, tout le monde y trouverait peut-être son compte.