SOURCE - SPO - 13 novembre 2012
On a signalé ici hier que la fondation de la Pontificia Academia Latinitatis présentait, en filigrane, un intérêt pour la messe traditionnelle. Le Wapo, autrement dit le Washington Post, une vache sacrée de la presse progressiste américaine, ne s’y est pas trompé. Dans sa livraison du 10 novembre, que nous découvrons aujourd’hui, on peut en effet lire dans un article titré « Le pape crée une Académie vaticane pour stimuler les études latines – nouveau rameau d’olivier tendu aux traditionalistes », ce qui suit : « L’initiative de Benoît XVI est une nouvelle preuve de sa tentative pour restaurer les racines traditionnelles de l’Église alors qu’elle se bat pour empêcher ses fidèles d’être écartés du bon chemin dans le monde d’aujourd’hui qui poursuit sa sécularisation (…) Cette est aussi un rameau d’olivier tendu aux catholiques traditionalistes qui déplorent depuis longtemps les réformes de modernisation [prises par] le concile de Vatican II qui a remplacé la liturgie en latin par la messe en vernaculaire ». Même si les rédacteurs du Wapo seraient bien avisés de (re)lire Sacrosanctum Concilium, la constitution conciliaire sur la liturgie, qui ne dispose pas de ce changement radical, leur analyse n’est pas si fausse…
On a signalé ici hier que la fondation de la Pontificia Academia Latinitatis présentait, en filigrane, un intérêt pour la messe traditionnelle. Le Wapo, autrement dit le Washington Post, une vache sacrée de la presse progressiste américaine, ne s’y est pas trompé. Dans sa livraison du 10 novembre, que nous découvrons aujourd’hui, on peut en effet lire dans un article titré « Le pape crée une Académie vaticane pour stimuler les études latines – nouveau rameau d’olivier tendu aux traditionalistes », ce qui suit : « L’initiative de Benoît XVI est une nouvelle preuve de sa tentative pour restaurer les racines traditionnelles de l’Église alors qu’elle se bat pour empêcher ses fidèles d’être écartés du bon chemin dans le monde d’aujourd’hui qui poursuit sa sécularisation (…) Cette est aussi un rameau d’olivier tendu aux catholiques traditionalistes qui déplorent depuis longtemps les réformes de modernisation [prises par] le concile de Vatican II qui a remplacé la liturgie en latin par la messe en vernaculaire ». Même si les rédacteurs du Wapo seraient bien avisés de (re)lire Sacrosanctum Concilium, la constitution conciliaire sur la liturgie, qui ne dispose pas de ce changement radical, leur analyse n’est pas si fausse…