SOURCE - Abbé Benoît Storez, fsspx - Cours Sainte-Philomène - décembre 2012
Quand on entend dans le fond de nos chapelles le bruissement confus de certaines petites âmes encore dans l'insouciance du tout jeune âge, on peut se dire en toute vérité : voilà l'avenir de l'Eglise qui s'exprime.
Les enfants sont l'espoir de demain, ce sont eux qui reprendront le flambeau, qui continueront l’oeuvre commencé voici deux milles ans par Notre-Seigneur dans son Eglise. Ils sont les fleurs qui promettent les fruits, les jeunes pousses qui annoncent la moisson. Mais en attendant, ils sont aussi la fragilité même. Dans la tempête du monde, ils sont exposés comme le serait un bateau en construction prématurément lancé sur l’océan.
Soyons-en convaincus : les enfants ont besoin d’un milieu protégé comme une plante a besoin d’un sol sain et d’un tuteur ou un bateau d’une calesèche. Chers bienfaiteurs, chers amis, c'est vous qui pouvez nous aider dans cette oeuvre, nous aider à les faire grandir pour leur donner les moyens de reprendre le flambeau. Chers bienfaiteurs, pour le dire d'un mot, c'est votre avenir que vous édifiez dans nos écoles.
En effet, il est impensable de faire germer dans une terre vierge des fleurs délicates si l'on ne prend pas soin de désherber, de protéger les jeunes pousses et de donner un milieu favorable à leur croissance. De même il est impossible de faire germer dans un coeur d'enfant les fleurs délicates des vertus si on les protège pas de l'hostilité du monde d'aujourd'hui. S'il n'y avait pas d'école catholique, l'éducation chrétienne donnée par les parents serait sans cesse contredite par l'éducation athée donnée par l'école laïque. Pauvres enfants écartelés, soumis à des influences contradictoires : comment résisteraient-ils ?
Bien chers amis, vous le savez, une école demande un effort constant, une véritable coalition des énergies de tous. Or c'est le bien de tous qui est engagé là. C'est pourquoi par cette lettre, je sollicite votre aide, Aidez-nous à aider nos enfants !
Abbé Benoît Storez
Quand on entend dans le fond de nos chapelles le bruissement confus de certaines petites âmes encore dans l'insouciance du tout jeune âge, on peut se dire en toute vérité : voilà l'avenir de l'Eglise qui s'exprime.
Les enfants sont l'espoir de demain, ce sont eux qui reprendront le flambeau, qui continueront l’oeuvre commencé voici deux milles ans par Notre-Seigneur dans son Eglise. Ils sont les fleurs qui promettent les fruits, les jeunes pousses qui annoncent la moisson. Mais en attendant, ils sont aussi la fragilité même. Dans la tempête du monde, ils sont exposés comme le serait un bateau en construction prématurément lancé sur l’océan.
Soyons-en convaincus : les enfants ont besoin d’un milieu protégé comme une plante a besoin d’un sol sain et d’un tuteur ou un bateau d’une calesèche. Chers bienfaiteurs, chers amis, c'est vous qui pouvez nous aider dans cette oeuvre, nous aider à les faire grandir pour leur donner les moyens de reprendre le flambeau. Chers bienfaiteurs, pour le dire d'un mot, c'est votre avenir que vous édifiez dans nos écoles.
En effet, il est impensable de faire germer dans une terre vierge des fleurs délicates si l'on ne prend pas soin de désherber, de protéger les jeunes pousses et de donner un milieu favorable à leur croissance. De même il est impossible de faire germer dans un coeur d'enfant les fleurs délicates des vertus si on les protège pas de l'hostilité du monde d'aujourd'hui. S'il n'y avait pas d'école catholique, l'éducation chrétienne donnée par les parents serait sans cesse contredite par l'éducation athée donnée par l'école laïque. Pauvres enfants écartelés, soumis à des influences contradictoires : comment résisteraient-ils ?
Bien chers amis, vous le savez, une école demande un effort constant, une véritable coalition des énergies de tous. Or c'est le bien de tous qui est engagé là. C'est pourquoi par cette lettre, je sollicite votre aide, Aidez-nous à aider nos enfants !
Abbé Benoît Storez