SOURCE - Christian Terras - Golias - 12 novembre 2009
Mgr Philippe Guéneley, évêque de Haute-Marne au bord de la retraite, a suscité sans le vouloir une polémique et une tempête en ayant tenu des propos effectivement irritants pour certains de ses confrères. D’orientation très conservatrice. On lui prête en effet ce mot : « Monseigneur Centène, on l’a fait plier. Monseigneur Aillet, on lui donne trois ans. Après, nous verrons. Dominique Rey, son diocèse finira par couler ». (cf. notre article du 7 novembre dernier à son sujet)
Inquiet sans doute de l’embrasement rapide de la polémique, l’évêque de Langres tente à présent d’éteindre l’incendie. Au risque de s’enfoncer encore un peu plus. Il faut en fait toujours assumer..
En tout cas, à une demande de confirmation faite auprès de l’évêché de Langres, il a été répondu par Mme Véronique Gallissot, déléguée épiscopale à l’information : « Monseigneur Gueneley, de retour de Lourdes, me charge de vous dire qu’il n’a pas tenu les propos qui lui sont attribués ». Il s’agit d’un bien vilain mensonge Monseigneur. En plus par personnes interposée. Alors que les propos du prélat ont des témoins dignes de foi.
De plus les milieux traditionalistes - avec lesquels nous sommes cette fois d’accord - précisent encore : « Nous devons à la vérité de dire que ces paroles étaient même plus dures, dans la mesure où nous avons volontairement omis un qualitatif que Mgr Gueneley avait appliqué à l’un de ses trois confrères, lequel constituait une injure qui n’ajoutait rien à l’information que nous nous faisions un devoir de délivrer » (in Paix Liturgique).
Le courage serait-il donc inconciliable avec la dignité épiscopale ?
Mgr Philippe Guéneley, évêque de Haute-Marne au bord de la retraite, a suscité sans le vouloir une polémique et une tempête en ayant tenu des propos effectivement irritants pour certains de ses confrères. D’orientation très conservatrice. On lui prête en effet ce mot : « Monseigneur Centène, on l’a fait plier. Monseigneur Aillet, on lui donne trois ans. Après, nous verrons. Dominique Rey, son diocèse finira par couler ». (cf. notre article du 7 novembre dernier à son sujet)
Inquiet sans doute de l’embrasement rapide de la polémique, l’évêque de Langres tente à présent d’éteindre l’incendie. Au risque de s’enfoncer encore un peu plus. Il faut en fait toujours assumer..
En tout cas, à une demande de confirmation faite auprès de l’évêché de Langres, il a été répondu par Mme Véronique Gallissot, déléguée épiscopale à l’information : « Monseigneur Gueneley, de retour de Lourdes, me charge de vous dire qu’il n’a pas tenu les propos qui lui sont attribués ». Il s’agit d’un bien vilain mensonge Monseigneur. En plus par personnes interposée. Alors que les propos du prélat ont des témoins dignes de foi.
De plus les milieux traditionalistes - avec lesquels nous sommes cette fois d’accord - précisent encore : « Nous devons à la vérité de dire que ces paroles étaient même plus dures, dans la mesure où nous avons volontairement omis un qualitatif que Mgr Gueneley avait appliqué à l’un de ses trois confrères, lequel constituait une injure qui n’ajoutait rien à l’information que nous nous faisions un devoir de délivrer » (in Paix Liturgique).
Le courage serait-il donc inconciliable avec la dignité épiscopale ?