SOURCE - summorum-pontificum.fr - 6 novembre 2009
Ancien chartiste (il a notamment travaillé sur l’édition critique des oeuvres de François Le Roy pour servir d'introduction à l'étude de la spiritualité fontevriste, au moment de la Réforme de l'Ordre, 1470-1530, [Jean-Michel Gleize / Ecole Nationale des Chartes],) gros travailleur et particulièrement intelligent, l’abbé Jean-Michel Gleize est professeur de théologie de l’Église à Écône. Il serait de ceux qui ont stipulé en cours que l’on peut avoir un « doute spéculatif » sur la légitimité des papes récents, mais aucune preuve n'a été apportée à cette information.
Ancien chartiste (il a notamment travaillé sur l’édition critique des oeuvres de François Le Roy pour servir d'introduction à l'étude de la spiritualité fontevriste, au moment de la Réforme de l'Ordre, 1470-1530, [Jean-Michel Gleize / Ecole Nationale des Chartes],) gros travailleur et particulièrement intelligent, l’abbé Jean-Michel Gleize est professeur de théologie de l’Église à Écône. Il serait de ceux qui ont stipulé en cours que l’on peut avoir un « doute spéculatif » sur la légitimité des papes récents, mais aucune preuve n'a été apportée à cette information.
Auteur de plusieurs ouvrages, il est également le traducteur d’un livre de Thomas de Vio Cajetan sur Le Successeur de Pierre (paru aux Publications du Courrier de Rome) et de Tradition et modernité du cardinal Billot (traduction d’un texte intitulé De l’immuable tradition contre la nouvelle hérésie de l’évolutionnisme, Publications Courrier de Rome) et de La Tradition de Johannes Baptist Franzelin. Il a également présenté les textes de Mgr Marcel Lefebvre réunis sous le titre : Vatican II : l'autorité d'un concile en question (Institut Universitaire Saint-Pie X) ainsi que le livre collectif, Magistère de soufre (Iris), synthèse de quatre symposiums théologiques qui se sont déroulés à Paris de 2002 à 2005 et consacrés à Vatican II
L’abbé Gleize s’est fait une spécialité, comme le montre sa préface à Tradition et modernité, dans la critique du concept de « tradition vivante », dont Jean-Paul II s’était servi dans son motu proprio Ecclesia Dei. « La tradition moderniste, écrit-il, est une tradition vivante. Cette tradition vivante est d’ailleurs aujourd’hui le grand postulat auquel se réfère tous les défenseurs du concile Vatican II. Le seul argument invoqué par Jean-Paul II contre Mgr Lefebvre est que « la tradition est vivante ». Et aujourd’hui encore, le pape Benoît XVI fait reposer sa prédication sur ce postulat. » Plus loin, il ajoute : « Tout cela est cohérent avec l’enseignement fondateur du concile Vatican II. En effet, la constitution Dei Verbum a donné une nouvelle définition de la tradition ».
L’abbé Gleize collabore à « Si SI No No » et au du Sel de la terre (Avrillé).