SOURCE - Extrait de "Le Courrier de Tychique" n°311 - 22 novembre 2009
Quand le « Missel des Dimanches 2010 » devient un catalogue des religions!...
Il coûte 9 € et comporte 575 pages ! Si vous ne craignez pas de perdre la Foi, je vous en conseille l’achat ! Vous y découvrirez des informations que vous avez peine à imaginer si vous en êtes restés, par une sage prudence, à la lecture de nos bons et vieux missels catholiques (datant d’avant 1962) !
En tout premier lieu, on y « fait mémoire » des fêtes célébrées dans d’autres religions, pour nous inciter – qui sait ? – à aller voir ailleurs ce qui pourrait améliorer la perception surannée que nous avons de notre Sainte Religion. En voici un échantillon :
p. 73 : 29 novembre 2010 « Dans la communauté musulmane, Aïd al Kabir, fête du bélier qu’Abraham a immolé en remplacement de son fils»
p. 80 : « du 12 au 19 décembre – Fête juive de Hanoukkah commémorant la victoire des Maccabées et la nouvelle dédicace de l’autel du temple de Jérusalem après sa profanation par les Grecs en 160 avant notre ère»
p. 88 : 18 décembre : « Fête du nouvel an pour la communauté musulmane »
p.185 : 27 février : « Fête juive du Pourrim où la communauté fait mémoire du jeûne d’Esther lorsque le peuple a été libéré du projet d’extermination des juifs exilés en Perse »
p.192 : « Il y a 14 siècles, en 610, Mahomet, alors simple caravanier, commença à prêcher pour ramener le peuple de La Mecque à la religion du Dieu unique et lui enseigner la soumission à la volonté divine. »
p. 348 : Le 19 mai « Fête juive de Chavouot, fête juive des moissons et du don de la Loi »
p. 439 : le 12 août « commence pour les musulmans le mois de jeûne du Ramadan »
Il coûte 9 € et comporte 575 pages ! Si vous ne craignez pas de perdre la Foi, je vous en conseille l’achat ! Vous y découvrirez des informations que vous avez peine à imaginer si vous en êtes restés, par une sage prudence, à la lecture de nos bons et vieux missels catholiques (datant d’avant 1962) !
En tout premier lieu, on y « fait mémoire » des fêtes célébrées dans d’autres religions, pour nous inciter – qui sait ? – à aller voir ailleurs ce qui pourrait améliorer la perception surannée que nous avons de notre Sainte Religion. En voici un échantillon :
p. 73 : 29 novembre 2010 « Dans la communauté musulmane, Aïd al Kabir, fête du bélier qu’Abraham a immolé en remplacement de son fils»
p. 80 : « du 12 au 19 décembre – Fête juive de Hanoukkah commémorant la victoire des Maccabées et la nouvelle dédicace de l’autel du temple de Jérusalem après sa profanation par les Grecs en 160 avant notre ère»
p. 88 : 18 décembre : « Fête du nouvel an pour la communauté musulmane »
p.185 : 27 février : « Fête juive du Pourrim où la communauté fait mémoire du jeûne d’Esther lorsque le peuple a été libéré du projet d’extermination des juifs exilés en Perse »
p.192 : « Il y a 14 siècles, en 610, Mahomet, alors simple caravanier, commença à prêcher pour ramener le peuple de La Mecque à la religion du Dieu unique et lui enseigner la soumission à la volonté divine. »
p. 348 : Le 19 mai « Fête juive de Chavouot, fête juive des moissons et du don de la Loi »
p. 439 : le 12 août « commence pour les musulmans le mois de jeûne du Ramadan »
p. 479 : le 18 septembre « la communauté juive célèbre le grand pardon, Yom Kippour, le jour le plus solennel de l’année, consacré à l’expiation des péchés »
p. 485 : Du 23 septembre au 1ier octobre « dans la communauté juive, fête du Soukkot ou des Tentes commémorant le séjour au désert lors de l’Exode »
p.527 : « Dernier dimanche d’octobre : Fête de la Réformation »
Pas mal, non ? Si vous avez bien lu, vous avez sans doute remarqué que la fête juive de Hanoukkah commémore une profanation qui s’est produite 160 ans… « avant notre ère » ! « Avant notre ère »… c’est-à-dire : « avant Jésus-Christ » ! On comprend que les rédacteurs du Missel n’aient pas voulu heurter la sensibilité juive en utilisant la formule « consacrée » ! Quant à la fête de la « Réformation » qui se célèbre le dimanche où nous célébrons, nous, la fête du Christ-Roi, c’est une coïncidence qui ne les a pas gênés puisqu’ils avaient déjà pris la précaution de déplacer cette fête depuis le bouleversement liturgique ! A ce propos, il est significatif que nos bons « apôtres » conciliaires mentionnent cette fête qui est l’anniversaire de la révolte de Luther (31 octobre 1517) marquant le point de départ de la «Réformation» c’est-à-dire du protestantisme!
Bien entendu, on ne trouve pas la moindre trace, dans ce manuel, des timides réserves de Benoît XVI, qui ne dispose manifestement plus d’aucun pouvoir sur sa «fédération» ! Pour le service de la Communion, on lit (p. 64) : «Les fidèles qui vont donner la communion s’approchent de l’autel pour communier» ! C’est donc devenu un rite «ordinaire» : ce sont les fidèles qui donnent la communion. Gardons l’ « extraordinaire » pour nous ! Evidemment il n’est absolument pas question de recevoir la communion sur la langue et à genoux ! Pour le « Credo » et le « Notre Père » on a conservé, sans aucun trouble de conscience, les traductions hérétiques : « de même nature » au lieu de « consubstantiel » pour le Credo, et « ne nous soumets pas à la tentation » pour le Notre Père !... Par rapport à la Tradition, le bouleversement est manifeste ! Il va encore s’aggraver car, contrairement à tout ce qui se dit actuellement, une juste appréciation des événements qui se déroulent sous nos yeux ne nous laisse guère d’espoir, sauf intervention divine toujours possible !
p. 485 : Du 23 septembre au 1ier octobre « dans la communauté juive, fête du Soukkot ou des Tentes commémorant le séjour au désert lors de l’Exode »
p.527 : « Dernier dimanche d’octobre : Fête de la Réformation »
Pas mal, non ? Si vous avez bien lu, vous avez sans doute remarqué que la fête juive de Hanoukkah commémore une profanation qui s’est produite 160 ans… « avant notre ère » ! « Avant notre ère »… c’est-à-dire : « avant Jésus-Christ » ! On comprend que les rédacteurs du Missel n’aient pas voulu heurter la sensibilité juive en utilisant la formule « consacrée » ! Quant à la fête de la « Réformation » qui se célèbre le dimanche où nous célébrons, nous, la fête du Christ-Roi, c’est une coïncidence qui ne les a pas gênés puisqu’ils avaient déjà pris la précaution de déplacer cette fête depuis le bouleversement liturgique ! A ce propos, il est significatif que nos bons « apôtres » conciliaires mentionnent cette fête qui est l’anniversaire de la révolte de Luther (31 octobre 1517) marquant le point de départ de la «Réformation» c’est-à-dire du protestantisme!
Bien entendu, on ne trouve pas la moindre trace, dans ce manuel, des timides réserves de Benoît XVI, qui ne dispose manifestement plus d’aucun pouvoir sur sa «fédération» ! Pour le service de la Communion, on lit (p. 64) : «Les fidèles qui vont donner la communion s’approchent de l’autel pour communier» ! C’est donc devenu un rite «ordinaire» : ce sont les fidèles qui donnent la communion. Gardons l’ « extraordinaire » pour nous ! Evidemment il n’est absolument pas question de recevoir la communion sur la langue et à genoux ! Pour le « Credo » et le « Notre Père » on a conservé, sans aucun trouble de conscience, les traductions hérétiques : « de même nature » au lieu de « consubstantiel » pour le Credo, et « ne nous soumets pas à la tentation » pour le Notre Père !... Par rapport à la Tradition, le bouleversement est manifeste ! Il va encore s’aggraver car, contrairement à tout ce qui se dit actuellement, une juste appréciation des événements qui se déroulent sous nos yeux ne nous laisse guère d’espoir, sauf intervention divine toujours possible !