SOURCE - Ennemond - Fecit - 11 décembre 2011
Un grand succès pour cette marche vers le théâtre du Rond-Point ! Nous étions environ 6500 à 7000, d'origine très diverses. Pour ma part, j'y ai croisé des fidèles des paroisses traditionnelles comme des églises diocésaines. L'officier de police nous a confié à un moment que nous étions beaucoup plus nombreux que le 29 octobre et cela, malgré une humidité assez réfrigérante.
Daniel Hamiche, de Riposte catholique, qui a apporté un soutien très appréciable à ces dernières manifestations, était sur les lieux dès 13 h 30. D'autres patrons d'émission de Radio Courtoisie, avaient également réservé leur après-midi, tout comme plusieurs élus qui ont eu le courage d'arborer leurs distinctions.
De nombreux prêtres étaient présents, ceux de la Fraternité Saint-Pie X, derrière le supérieur de district, l'abbé de Cacqueray, et le curé de Saint-Nicolas du Chardonnet, l'abbé Beauvais ; de la Fraternité Saint-Pierre, avec l'abbé Olivier, secrétaire du district de France, venu représenter son supérieur ; de l'Institut de la Sainte-Croix de Riaumont avec le Père Argouarc'h ; des capucins de Morgon ; des coopérateurs du Christ-Roi, avec le Père Marziac, bien d'autres encore.
Nous sommes arrivés vers 16 heures devant le théâtre. A ce moment, Jean-Michel Ribes était au loin, se cachant au sein d'un groupe d'amis, observant l'arrivée de la foule, avant de s'éloigner, au cours du chapelet.
Un grand élan de prière s'est élevé vers le ciel pendant le chapelet. La foule était à la fois très pacifique et très fervente. Pendant ce temps, à l'autre bout de Paris, une foule de 150 nervis s'approchait de Saint-Nicolas du Chardonnet, défendue en notre absence par ses vicaires et, surtout, par la gendarmerie. Honneur à son efficace vigileance !
Alain Escada a terminé par un mot de conclusion indiquant que "Noël est déchristianisé, les églises sont abandonnées, les institutions sont paganisées, mais que désormais il faudrait compter avec nous catholiques."
Un grand succès pour cette marche vers le théâtre du Rond-Point ! Nous étions environ 6500 à 7000, d'origine très diverses. Pour ma part, j'y ai croisé des fidèles des paroisses traditionnelles comme des églises diocésaines. L'officier de police nous a confié à un moment que nous étions beaucoup plus nombreux que le 29 octobre et cela, malgré une humidité assez réfrigérante.
Daniel Hamiche, de Riposte catholique, qui a apporté un soutien très appréciable à ces dernières manifestations, était sur les lieux dès 13 h 30. D'autres patrons d'émission de Radio Courtoisie, avaient également réservé leur après-midi, tout comme plusieurs élus qui ont eu le courage d'arborer leurs distinctions.
De nombreux prêtres étaient présents, ceux de la Fraternité Saint-Pie X, derrière le supérieur de district, l'abbé de Cacqueray, et le curé de Saint-Nicolas du Chardonnet, l'abbé Beauvais ; de la Fraternité Saint-Pierre, avec l'abbé Olivier, secrétaire du district de France, venu représenter son supérieur ; de l'Institut de la Sainte-Croix de Riaumont avec le Père Argouarc'h ; des capucins de Morgon ; des coopérateurs du Christ-Roi, avec le Père Marziac, bien d'autres encore.
Nous sommes arrivés vers 16 heures devant le théâtre. A ce moment, Jean-Michel Ribes était au loin, se cachant au sein d'un groupe d'amis, observant l'arrivée de la foule, avant de s'éloigner, au cours du chapelet.
Un grand élan de prière s'est élevé vers le ciel pendant le chapelet. La foule était à la fois très pacifique et très fervente. Pendant ce temps, à l'autre bout de Paris, une foule de 150 nervis s'approchait de Saint-Nicolas du Chardonnet, défendue en notre absence par ses vicaires et, surtout, par la gendarmerie. Honneur à son efficace vigileance !
Alain Escada a terminé par un mot de conclusion indiquant que "Noël est déchristianisé, les églises sont abandonnées, les institutions sont paganisées, mais que désormais il faudrait compter avec nous catholiques."