SOURCE - Traditionalistes (blog) - 13 septembre 2015
L’Institut Civitas, proche de la FSSPX, est connu pour ses actions (contre le blasphème ‘culturel’, contre la dénaturation du mariage) et pour ses formations: université d’été, cercles ciblés vers les élus, sessions pour cadres du mouvement. Mais Civitas est aussi (et sans doute: avant tout) un lieu de réflexion, visant à restaurer une France chrétienne.
C’est dans ce cadre que les Editions Civitas marquent la rentrée 2015, en publiant le dernier opus de François-Xavier Peron, jeune philosophe de l’école néo-thomiste. Peron analyse sans concessions le Synode sur la famille, qu’il nomme la «révolution du pape François» et dont il note qu’elle est loin de faire l’unanimité, au point de valoir au pape les foudres d’une partie des cardinaux conciliaires.
S'il ne s'agit pas à proprement parler d'un travail collectif, l'auteur s'est néanmoins appuyé sur un réseau constitué notamment à l'époque où il bloguait sous le nom d'Austremoine. Sans révéler qui est qui, notons dans la liste de ceux qu'il remercie les internautes Jean-Eudes de Grèce, Gentiloup, Mistral, Honorius, et quelques autres.
Le texte ne comporte pas d'illustrations, mais une facétie de l'auteur en égaye la lecture. En effet, l'astucieux FX Peron a dissimulé dans ses pages quelques lettres faussement mal placées ("un certains nombre...") qui mises bout à bout forment un message ("s-i-c-u-t ...") que nous vous laissons retrouver.
Cet ouvrage permettra au lecteur, traditionaliste ou non, d’approcher le point de vue de l’Institut, mais également d’apprécier à leur juste valeur la force intellectuelle de ses auteurs. On lira avec le même intérêt la préface donnée par le Père de Fleurance, supérieur des capucins de Morgon, et l’on partagera peut-être son jugement : «le plus terrible et le plus pitoyable au milieu de tout cela…»
C’est dans ce cadre que les Editions Civitas marquent la rentrée 2015, en publiant le dernier opus de François-Xavier Peron, jeune philosophe de l’école néo-thomiste. Peron analyse sans concessions le Synode sur la famille, qu’il nomme la «révolution du pape François» et dont il note qu’elle est loin de faire l’unanimité, au point de valoir au pape les foudres d’une partie des cardinaux conciliaires.
S'il ne s'agit pas à proprement parler d'un travail collectif, l'auteur s'est néanmoins appuyé sur un réseau constitué notamment à l'époque où il bloguait sous le nom d'Austremoine. Sans révéler qui est qui, notons dans la liste de ceux qu'il remercie les internautes Jean-Eudes de Grèce, Gentiloup, Mistral, Honorius, et quelques autres.
Le texte ne comporte pas d'illustrations, mais une facétie de l'auteur en égaye la lecture. En effet, l'astucieux FX Peron a dissimulé dans ses pages quelques lettres faussement mal placées ("un certains nombre...") qui mises bout à bout forment un message ("s-i-c-u-t ...") que nous vous laissons retrouver.
Cet ouvrage permettra au lecteur, traditionaliste ou non, d’approcher le point de vue de l’Institut, mais également d’apprécier à leur juste valeur la force intellectuelle de ses auteurs. On lira avec le même intérêt la préface donnée par le Père de Fleurance, supérieur des capucins de Morgon, et l’on partagera peut-être son jugement : «le plus terrible et le plus pitoyable au milieu de tout cela…»