SOURCE - famillechretienne.fr - 3 novembre 2011
Le supérieur de la Fraternité Saint-Pie-X pour la Grande-Bretagne a aussi soutenu que « la base doctrinale proposée pour tout accord canonique » contenait « tous les éléments que la fraternité a constamment rejetés, y compris l’acceptation de la "nouvelle messe" et du concile Vatican II tels qu’exprimés dans le nouveau catéchisme ».
Des fuites non autorisées
Le lendemain, évoquant les « divers commentaires (qui) paraissent dans la presse sur la réponse que Mgr Bernard Fellay doit donner aux propositions romaines du 14 septembre », la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X a indiqué sur son site Internet qu’elle seule était « habilitée à faire paraître un communiqué officiel ou un commentaire autorisé sur ce sujet ». La fraternité a évoqué les commentaires apparus dans la presse sans pour autant faire explicitement référence à la lettre publiée par l’un de ses responsables.
Pour Rome, ce préambule alimente le débat interne
Au Vatican, sans vouloir commenter officiellement ce énième rebondissement dans les rapports entre Écône et Rome, on reconnaît cependant le « fort débat » qui existe au sein même de la Fraternité Saint-Pie-X ainsi que l’opposition de « l’aile dure » de l’institution à tout accord. Pour autant, Rome juge que le préambule doctrinal remplit ses objectifs en alimentant ce débat interne et rappelle que son seul interlocuteur est le supérieur de l’institution, Mgr Bernard Fellay.
Dans une lettre mise en ligne sur Internet le 1er novembre 2011, puis rapidement retirée, le responsable du district britannique de la Fraternité Saint-Pie-X a confié que son institution jugeait « inacceptable » le préambule doctrinal soumis à acceptation par le Saint-Siège. Quelques heures plus tard, la Fraternité rappelait qu’elle seule est susceptible de répondre à Rome.Dans la lettre mise en ligne sur Internet le 1er novembre 2011, le responsable du district britannique de la Fraternité Saint-Pie-X jugeait « inacceptable » le préambule doctrinal. Retirée d’Internet par la suite, la lettre signée par l’abbé Paul Morgan précisait que, réunis à Albano (Italie) les 7 et 8 octobre, les supérieurs de la fraternité avaient jugé « que le préambule doctrinal était clairement inacceptable et que le temps n’était certainement pas venu de signer un quelconque accord pratique aussi longtemps que les questions doctrinales resteront exclues ».
Le supérieur de la Fraternité Saint-Pie-X pour la Grande-Bretagne a aussi soutenu que « la base doctrinale proposée pour tout accord canonique » contenait « tous les éléments que la fraternité a constamment rejetés, y compris l’acceptation de la "nouvelle messe" et du concile Vatican II tels qu’exprimés dans le nouveau catéchisme ».
Des fuites non autorisées
Le lendemain, évoquant les « divers commentaires (qui) paraissent dans la presse sur la réponse que Mgr Bernard Fellay doit donner aux propositions romaines du 14 septembre », la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X a indiqué sur son site Internet qu’elle seule était « habilitée à faire paraître un communiqué officiel ou un commentaire autorisé sur ce sujet ». La fraternité a évoqué les commentaires apparus dans la presse sans pour autant faire explicitement référence à la lettre publiée par l’un de ses responsables.
Pour Rome, ce préambule alimente le débat interne
Au Vatican, sans vouloir commenter officiellement ce énième rebondissement dans les rapports entre Écône et Rome, on reconnaît cependant le « fort débat » qui existe au sein même de la Fraternité Saint-Pie-X ainsi que l’opposition de « l’aile dure » de l’institution à tout accord. Pour autant, Rome juge que le préambule doctrinal remplit ses objectifs en alimentant ce débat interne et rappelle que son seul interlocuteur est le supérieur de l’institution, Mgr Bernard Fellay.