SOURCE - MJCF - 23 novembre 2011
Le Mouvement de la Jeunesse Catholique de France tient à dénoncer publiquement l’outrage que constituent les nombreuses pièces blasphématoires ayant lieu à Paris et sur le territoire français.
Bien que jeunes citoyens sans responsabilités politiques dans la cité, nous tenons néanmoins à rappeler aux autorités publiques qu’il y a une loi supérieure aux simples lois humaines qu’elles édictent ; que Celui qui a été outragé avec leur concours, Jésus-Christ Fils de Dieu, est Créateur et Roi des individus comme des sociétés. En conséquence, nous ne pouvons qu'être indignés que des instances officielles parmi les plus hautes de notre nation, autrefois chrétienne, aient pu financer de tels spectacles et déployer une véritable armada afin de s’assurer que les blasphèmes aient bien lieu.
Quoique simples laïques sans fonction d'enseignement dans l'Église, nous nous permettons de rappeler aux autorités ecclésiastiques qui ont juridiction en France qu’il est de leur mission apostolique de défendre la Foi des fidèles et l’honneur de Jésus-Christ, leur Maître et Seigneur. Nous sommes profondément outrés de constater que certains évêques de France abaissent leur ministère à relayer si complaisamment les sophismes des journalistes : la force et la détermination dans la confession de la foi ne seraient que violence ? Alors, c'est Pierre, Paul et tous les Apôtres colonnes de l'Église, saint Martin et les évêques évangélisateurs des Gaules, saint Denis et ses compagnons martyrs qu’il faut renier comme dangereux agitateurs ! La fidélité à Jésus-Christ ne serait que fondamentalisme ? Alors ce sont tous les saints docteurs de la foi, tous les catéchistes et tous les enseignants de la doctrine de l'Église qu'il faut vouer à l'enfer ! Nos pasteurs de l'Église du XXIe siècle auraient-ils troqué les commandements de Dieu et les béatitudes du Sauveur Jésus pour se faire les champions des libertés modernes ?
Honte à vous spécialement, évêques de France qui êtes sortis de votre mutisme pour condamner les fidèles catholiques montés, seuls et sans pasteurs, au créneau de la défense de la Sainte Église. Doit-on dire qu'ils vous ont dépassé en générosité et en courage ?
Enfin nous sommes attristés de constater que dans l'Église, certaines autorités, certaines associations ou certains fidèles se sont empressés de se désolidariser des jeunes catholiques qui ont confessé publiquement et avec fermeté leur foi malgré de violentes oppositions, tant physiques que morales. De ceux dont ils auraient dû attendre soutien, encouragement et compassion, ils ont trouvé la lâcheté. Cette attitude nous est plus pénible encore que les outrages commis par les ennemis de l'Église.
Le MJCF se sent profondément solidaire des quelques prêtres, des fidèles et, en particulier de ces jeunes catholiques, qui ont payé de leur personne pour défendre l’honneur de Jésus-Christ. Nous les félicitons d’autant plus qu’ils ont affiché les seules raisons dignes de Dieu pour justifier leur indignation ; ni liberté religieuse, ni liberté d’expression, mais l’honneur de Jésus-Christ, seul vrai Dieu.
Que tout honneur et toute gloire soit rendue à Dieu. Vive le Christ Roi !
Le Mouvement de la Jeunesse Catholique de France
Le Mouvement de la Jeunesse Catholique de France tient à dénoncer publiquement l’outrage que constituent les nombreuses pièces blasphématoires ayant lieu à Paris et sur le territoire français.
Bien que jeunes citoyens sans responsabilités politiques dans la cité, nous tenons néanmoins à rappeler aux autorités publiques qu’il y a une loi supérieure aux simples lois humaines qu’elles édictent ; que Celui qui a été outragé avec leur concours, Jésus-Christ Fils de Dieu, est Créateur et Roi des individus comme des sociétés. En conséquence, nous ne pouvons qu'être indignés que des instances officielles parmi les plus hautes de notre nation, autrefois chrétienne, aient pu financer de tels spectacles et déployer une véritable armada afin de s’assurer que les blasphèmes aient bien lieu.
Quoique simples laïques sans fonction d'enseignement dans l'Église, nous nous permettons de rappeler aux autorités ecclésiastiques qui ont juridiction en France qu’il est de leur mission apostolique de défendre la Foi des fidèles et l’honneur de Jésus-Christ, leur Maître et Seigneur. Nous sommes profondément outrés de constater que certains évêques de France abaissent leur ministère à relayer si complaisamment les sophismes des journalistes : la force et la détermination dans la confession de la foi ne seraient que violence ? Alors, c'est Pierre, Paul et tous les Apôtres colonnes de l'Église, saint Martin et les évêques évangélisateurs des Gaules, saint Denis et ses compagnons martyrs qu’il faut renier comme dangereux agitateurs ! La fidélité à Jésus-Christ ne serait que fondamentalisme ? Alors ce sont tous les saints docteurs de la foi, tous les catéchistes et tous les enseignants de la doctrine de l'Église qu'il faut vouer à l'enfer ! Nos pasteurs de l'Église du XXIe siècle auraient-ils troqué les commandements de Dieu et les béatitudes du Sauveur Jésus pour se faire les champions des libertés modernes ?
Honte à vous spécialement, évêques de France qui êtes sortis de votre mutisme pour condamner les fidèles catholiques montés, seuls et sans pasteurs, au créneau de la défense de la Sainte Église. Doit-on dire qu'ils vous ont dépassé en générosité et en courage ?
Enfin nous sommes attristés de constater que dans l'Église, certaines autorités, certaines associations ou certains fidèles se sont empressés de se désolidariser des jeunes catholiques qui ont confessé publiquement et avec fermeté leur foi malgré de violentes oppositions, tant physiques que morales. De ceux dont ils auraient dû attendre soutien, encouragement et compassion, ils ont trouvé la lâcheté. Cette attitude nous est plus pénible encore que les outrages commis par les ennemis de l'Église.
Le MJCF se sent profondément solidaire des quelques prêtres, des fidèles et, en particulier de ces jeunes catholiques, qui ont payé de leur personne pour défendre l’honneur de Jésus-Christ. Nous les félicitons d’autant plus qu’ils ont affiché les seules raisons dignes de Dieu pour justifier leur indignation ; ni liberté religieuse, ni liberté d’expression, mais l’honneur de Jésus-Christ, seul vrai Dieu.
Que tout honneur et toute gloire soit rendue à Dieu. Vive le Christ Roi !
Le Mouvement de la Jeunesse Catholique de France