SOURCE - Christophe Saint-Placide - 4 mars 2012
«Au Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église.» On ne pouvait trouver meilleure introduction au superbe dossier que 30 Giorni, la revue catholique italienne dirigée par Giulio Andreotti, consacre à l’œuvre de dom Gérard dans son numéro de novembre 2011.
«Au Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église.» On ne pouvait trouver meilleure introduction au superbe dossier que 30 Giorni, la revue catholique italienne dirigée par Giulio Andreotti, consacre à l’œuvre de dom Gérard dans son numéro de novembre 2011.
Magnifiquement illustré, ce long reportage – 15 pages – est à consulter ici dans sa version originale pour admirer la belle harmonie entre les images et le texte, comme si l’esprit du Barroux avait pénétré jusqu’à la maquette de la revue. 30 Giorni étant aussi disponible en français (30 Jours), on peut lire également ce reportage dans notre langue dont, pour les lecteurs pressés, nous vous proposons quelques extraits :
« Tous les ans, une centaine de prêtres venant pour la majorité de France, d’Italie, d’Allemagne, de Grande-Bretagne et de Hollande, passent à Le Barroux quelques jours de retraite pour parler avec les moines ou pour apprendre à célébrer la messe selon le rite ancien. Le monastère compte environ trois cents oblats entre prêtres, laïcs et familles qui se réfèrent à la spiritualité bénédictine. »
« C’est comme si, ici, se réalisait un équilibre différent, fondé non sur le compromis ni non plus sur l’opposition à d’autres réalités ecclésiales, mais simplement sur le retour à la Règle de saint Benoît comme voie pour s’approcher du cœur de la vie chrétienne. »
« Les jeunes sont attirés à Le Barroux précisément par la radicalité du choix pour Dieu et par la beauté de la liturgie qui se célèbre ici. » Dom Louis-Marie